Jesuis persuadĂ© que celui qui a commencĂ© cette bonne oeuvre en vous la mĂšnera Ă  bonne fin jusqu’au jour de JĂ©sus-Christ. Bible AnnotĂ©e - 1899 - BAN: Philippiens 1.6: Ă©tant persuadĂ© de ceci mĂȘme, que Celui qui a commencĂ© en vous une bonne Ɠuvre l’achĂšvera jusqu’au jour de JĂ©sus-Christ ; Ancien testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAK: Philippiens
Portrait de Victor Hugo Victor Hugo et Louis NapolĂ©on Bonaparte En fĂ©vrier 1848, quand Ă©clate la rĂ©volution qui chasse Louis-Philippe, dernier roi des Français, Victor Hugo est plongĂ© dans la rĂ©daction du roman qui deviendra bien plus tard Les MisĂ©rables. Lamartine est le grand homme des journĂ©es de fĂ©vrier ; Victor Hugo, mĂȘme s’il soutient et encourage son ami, semble un peu sur la rĂ©serve. Il est Ă©lu en juin, lors d’élections complĂ©mentaires, Ă  l’AssemblĂ©e constituante, en mĂȘme temps qu’un certain Louis NapolĂ©on Bonaparte, filleul et neveu prĂ©sumĂ© de NapolĂ©on Ier, qui ne vient pas siĂ©ger. Victor Hugo, lui, non seulement vient siĂ©ger, mais doit affronter tout de suite la plus grave crise du nouveau rĂ©gime, l’un des Ă©pisodes les plus tragiques du XIXe siĂšcle la grande insurrection populaire de juin 1848. Il est envoyĂ© sur les barricades pour parlementer avec les ouvriers qui se sont soulevĂ©s en masse contre la suppression des ateliers nationaux leur garantissant un travail. La DeuxiĂšme RĂ©publique dĂ©bordĂ©e confie assez vite les pleins pouvoirs Ă  son ministre de la guerre, le gĂ©nĂ©ral Cavaignac, qui reprend en mains la situation au prix d’une rĂ©pression particuliĂšrement fĂ©roce. Pour les Ă©lections prĂ©sidentielles prĂ©vues Ă  la fin de l’annĂ©e, Lamartine a dĂšs lors perdu tout son crĂ©dit au profit de Cavaignac – que Victor Hugo n’apprĂ©cie pas davantage que ses mĂ©thodes. C’est la raison pour laquelle, un an aprĂšs avoir plaidĂ© pour autoriser la rentrĂ©e en France des membres de la famille Bonaparte, il apporte son soutien, appuyĂ© par son journal L’ÉvĂ©nement, Ă  la candidature de Louis NapolĂ©on, lequel se prĂ©sente avec des idĂ©es progressistes et libĂ©rales. Le triomphe de ce dernier est Ă  vrai dire inattendu il est Ă©lu en dĂ©cembre pour quatre ans prĂ©sident de la RĂ©publique française avec plus de 74 % des suffrages exprimĂ©s, et prĂȘte aussitĂŽt serment Ă  la Constitution devant l’AssemblĂ©e. Les trois annĂ©es qui vont suivre sont marquĂ©es par un double mouvement d’une part, un durcissement de la politique gouvernementale qui renonce Ă  tous les articles de son programme social pour devenir franchement rĂ©actionnaire, d’autre part le lent et rĂ©gulier glissement de Victor Hugo de la droite qui l’avait Ă©lu vers la gauche qui va plus ou moins bien l’accueillir. Bien sĂ»r, il n’est pas passĂ© Ă  l’opposition par dĂ©pit de n’avoir pas Ă©tĂ© nommĂ© ministre par Louis-NapolĂ©on Bonaparte, mais c’est la calomnie que l’on a trĂšs vite fait courir sur son compte pour caricaturer ce changement de front. Le coup d’État du 2 dĂ©cembre 1851AprĂšs avoir rognĂ© toutes les libertĂ©s mais Ă©chouĂ© Ă  rĂ©former la Constitution pour se maintenir lĂ©galement au pouvoir, Louis NapolĂ©on Bonaparte renverse ce qui restait de la DeuxiĂšme RĂ©publique lors du coup d’État du 2 dĂ©cembre 1851. Victor Hugo prend la tĂȘte de l’opposition et entre dans la clandestinitĂ©. Sa tĂȘte mise Ă  prix, il se rĂ©sout Ă  fuir quand il comprend que le peuple, toujours irritĂ© par la rĂ©pression de juin 1848, ne prendra pas la dĂ©fense de la RĂ©publique. Il gagne la Belgique peu de temps avant son expulsion officielle du territoire français, pĂȘle-mĂȘle avec une soixantaine d’autres dĂ©putĂ©s de l’opposition. Pendant ce temps, plus de vingt mille opposants sont jugĂ©s de maniĂšre expĂ©ditive, emprisonnĂ©s et ChĂątiments 1853 aux ChĂątiments 1870 Victor Hugo arrive en exil rĂ©vulsĂ© par ce qu’il a vu. Il commence avec une Ă©nergie dĂ©cuplĂ©e par la colĂšre une lutte qui va durer vingt ans contre le nouveau dictateur. Son tĂ©moignage prend tout d’abord la forme d’une dĂ©position en prose devant l’histoire. Mais il y a tellement de choses Ă  dire qu’il finit par laisser de cĂŽtĂ© cet Ă©norme chantier ; il le bouclera un quart de siĂšcle plus tard Histoire d’un crime. Il se consacre alors Ă  un pamphlet plus vif et plus incisif NapolĂ©on le Petit. Il l’expĂ©die en un mois et doit aussitĂŽt quitter la Belgique, dont l’accueil pourtant mitigĂ© restait subordonnĂ© Ă  son silence. ArrivĂ© Ă  Jersey, petite Ăźle anglo-normande dont le climat et la beautĂ© l’apaisent, il ne renonce pas pour autant Ă  la lutte. NapolĂ©on le Petit, publiĂ© Ă  Bruxelles, remporte un assez joli succĂšs Ă  son insu il ne touche Ă  peu prĂšs aucun droit sur cette Ɠuvre militante, naturellement interdite en France, mais Louis NapolĂ©on Bonaparte est Ă  la veille de se proclamer empereur. Le 18 novembre 1852, Victor Hugo Ă©crit Ă  Hetzel, qui lui sert d’agent littĂ©raire avant l’heure Je fais en ce moment un volume de vers qui sera le pendant naturel et nĂ©cessaire de NapolĂ©on le Petit. Ce volume sera intitulĂ© Les Vengeresses. Il contiendra de tout, des choses qu’on pourra dire, et des choses qu’on pourra chanter. C’est un nouveau caustique que je crois nĂ©cessaire d’appliquer sur Louis Bonaparte. Il est cuit d’un cĂŽtĂ©, le moment me paraĂźt venu de retourner l’empereur sur le gril. » L’image est violente, mais pas davantage que le contenu. À Hetzel qui s’en inquiĂ©tait, Victor Hugo rĂ©pond le 6 fĂ©vrier 1853 par des rĂ©fĂ©rences bibliques qui se retrouveront, comme les deux grands modĂšles Tacite et JuvĂ©nal, dans le recueil JĂ©rĂ©mie, David et IsaĂŻe sont violents. Ce qui n’empĂȘche pas tous ces punisseurs d’ĂȘtre forts. Être violent, qu’importe ? ĂȘtre vrai, tout est lĂ . Laissons donc lĂ  les vieilles maximes, et prenons-en notre parti. Oui, le droit, le bon sens, l’honneur et la vĂ©ritĂ© ont raison d’ĂȘtre indignĂ©s, et ce qu’on appelle leur violence n’est que leur justice. JĂ©sus Ă©tait violent ; il prenait une verge et chassait les vendeurs, et il frappait de toutes ses forces, dit saint Chrysostome. Vous qui ĂȘtes l’esprit et le courage mĂȘme, abandonnez aux faibles ces sentiments contre les forts. Quant Ă  moi, je n’en tiens nul compte et je vais mon chemin, et comme JĂ©sus, je frappe de toutes mes forces. est violent. Ce livre-ci sera violent. Ma poĂ©sie est honnĂȘte, mais pas modĂ©rĂ©e. J’ajoute que ce n’est pas avec de petits coups qu’on agit sur les masses. J’effaroucherai le bourgeois peut-ĂȘtre, qu’est-ce que cela me fait si je rĂ©veille le peuple ? »Il effaroucha aussi les Ă©diteurs, qui se dĂ©robaient tous les uns aprĂšs les autres. Il est vrai que pour Ă©viter de nouveaux NapolĂ©on le Petit, la Belgique avait fait passer en dĂ©cembre 1852 une loi dite Faider, poursuivant quiconque se serait rendu coupable d’offenses envers la personne des souverains Ă©trangers ». Le poĂšme À propos de la loi Faider » fera consĂ©quemment du lion belge soi-disant autonome un petit caniche Ă  la solde du nouvel empire. Les deux Ă©ditions du livre l’une intĂ©grale, l’autre censurĂ©e pour satisfaire Ă  la loi seront finalement quand mĂȘme publiĂ©es Ă  Bruxelles, mais au prix de tractations longues et complexes. Je fais en ce moment une Ɠuvre de titan », rĂ©sume Victor Hugo dans une lettre Ă  Louise Colet le 28 juin 1853, ce n’est pas d’écrire un livre contre un homme, c’est de le publier ». Il avait aprĂšs quelques hĂ©sitations trouvĂ© son titre ChĂątiments, sans article Ce titre est menaçant et simple, c’est-Ă -dire beau ». Les deux Ă©ditions paraissent Ă  Bruxelles Ă  la fin du mois de novembre 1853 ; celle qui est censurĂ©e, donc officielle, porte bien l’indication Bruxelles » ; l’autre, complĂšte mais officieuse, GenĂšve et New York ». Elle est toute petite pour pouvoir circuler en contrebande, mais ne renoue pas avec le succĂšs de NapolĂ©on le Petit la rĂ©pression policiĂšre est mieux organisĂ©e, la guerre de CrimĂ©e s’annonce, l’empire s’est installĂ©, les esprits sont du siĂšge de ParisIl faudra attendre la chute de l’empire dans le dĂ©sastre de Sedan 2 septembre 1870, pour que ce recueil, dix-sept ans aprĂšs sa sortie en contrebande, remporte un immense succĂšs. La premiĂšre Ă©dition française est publiĂ©e par Hetzel le 20 octobre 1870, alors que Paris est assiĂ©gĂ©e par les Prussiens. Au format approximatif d’un livre de poche d’aujourd’hui, elle est deux fois plus grande que l’originale et contient cinq nouveaux poĂšmes ; un beau frontispice de Daumier y est ajoutĂ© aprĂšs quelques retirages. Le titre a lui aussi changĂ© c’est maintenant Les ChĂątiments, avec article dĂ©fini, comme Les Tragiques d’Agrippa d’AubignĂ© qui furent un de ses modĂšles, histoire aussi de bien montrer que le pamphlet interdit est appelĂ© Ă  devenir une rĂ©fĂ©rence commune, une affaire d’état. Et, de fait, le succĂšs est fulgurant les Ă©ditions s’épuisent Ă  toute vitesse cinq mille exemplaires vendus les deux premiers jours, les retirages se succĂšdent, les lectures publiques se multiplient. Victor Hugo offre Ă  peu prĂšs tous ses droits d’auteur, qui permettront notamment d’acheter
 des canons pour dĂ©fendre Paris. Le 27 novembre, il jette dans son carnet ces phrases extraordinaires On a renoncĂ© Ă  me demander l’autorisation de dire mes Ɠuvres sur les théùtres. On les dit partout sans me demander la permission. On a raison. Ce que j’écris n’est pas Ă  moi. Je suis une chose publique. » Les ChĂątiments de 1870 seront le recueil de la TroisiĂšme RĂ©publique naissante – et durable, et feront beaucoup pour la gloire populaire de leur auteur. La belle premiĂšre Ă©dition illustrĂ©e par ThĂ©ophile Schuler, en 1872, en est l’une des premiĂšres ChĂątiments sont trĂšs diffĂ©rents des recueils publiĂ©s par Victor Hugo avant l’exil. Il suffit de regarder leur table des matiĂšres pour en prendre la mesure ce n’est plus une simple succession de poĂšmes numĂ©rotĂ©s, mais une vĂ©ritable composition architecturale. Ils commencent par la nuit Nox », en latin du coup d’État pour aller vers la lumiĂšre Lux », en latin de la RĂ©publique Ă  venir, en passant par sept livres aux titres distinctifs. Les six premiers se contentent d’égrener sur le mode ironique les dĂ©clarations de l’Empire, Ă©noncĂ©s minimaux d’une langue de bois vieille comme le monde, et toujours d’actualitĂ© la sociĂ©tĂ© est sauvĂ©e », l’ordre est rĂ©tabli », la famille est restaurĂ©e », la religion est glorifiĂ©e », l’autoritĂ© est sacrĂ©e », la stabilitĂ© est assurĂ©e ». Le septiĂšme livre change de registre avec un titre qui est un jeu de mots prophĂ©tique Les sauveurs se sauveront ». Ceux qui prĂ©tendent avoir sauvĂ© la sociĂ©tĂ© finiront par prendre la fuite, et c’est ainsi qu’ils sauveront vraiment la sociĂ©tĂ©. Cette maniĂšre de retour au premier livre suggĂšre une structure cyclique marquĂ©e par le ressassement, le piĂ©tinement de l’histoire, mais elle est tout de mĂȘme sous-tendue par l’axe principal, pas toujours immĂ©diatement visible, qui va de la nuit Ă  la lumiĂšre. Au cƓur de ce mouvement se trouve L’Expiation », composĂ©e Ă  Jersey Ă  la fin du mois de novembre 1852. Avec prĂšs de quatre cents vers, c’est le plus ample poĂšme du recueil, dont il redouble en quelque sorte le titre. Son sujet gĂ©nĂ©ral, comme souvent dans ChĂątiments, se trouvait dans NapolĂ©on le Petit I, 6 [
] le 18 Brumaire est un crime dont le Deux DĂ©cembre a Ă©largi la tache sur la mĂ©moire de NapolĂ©on. » Autrement dit, la punition, le chĂątiment de NapolĂ©on Ier pour avoir fait son coup d’État du 18 Brumaire, ce n’est ni la retraite de Russie racontĂ©e dans la premiĂšre partie du poĂšme, ni la dĂ©faite racontĂ©e dans la deuxiĂšme Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! », ni l’exil Ă  Sainte-HĂ©lĂšne qui est l’objet de la troisiĂšme partie, c’est le Deux DĂ©cembre de son neveu prĂ©sumĂ©. La derniĂšre partie du poĂšme, la moins connue aujourd’hui, forme une petite Ă©popĂ©e burlesque qui rĂ©pond sur le mode de la parodie Ă  la vĂ©ritable Ă©popĂ©e du vrai NapolĂ©on. La grande Ă©popĂ©e, appelĂ©e Ă  un si riche avenir dans l’Ɠuvre de Victor Hugo La LĂ©gende des siĂšcles, naĂźt ainsi dans ChĂątiments au revers de la satire. Cette expiation est aussi celle de Victor Hugo lui-mĂȘme au moins depuis l’ode À la colonne de la place VendĂŽme » de 1827, le culte qu’il a longtemps rendu Ă  NapolĂ©on Ier n’est-il pas en partie responsable de l’arrivĂ©e au pouvoir de NapolĂ©on III ? Le premier recueil de l’exil permet en tout cas de suivre la conquĂȘte ou la reconquĂȘte de sa propre parole poĂ©tique. Il commence par porter la voix anonyme de tous les proscrits qu’il reprĂ©sente dĂ©sormais pour finir par parler en son nom. C’est le trajet qui mĂšne du premier poĂšme sans titre Le banni, debout sur la grĂšve
 » aux derniĂšres paroles Ultima Verba » qui terminent le septiĂšme livre S’il en demeure dix, je serai le dixiĂšme ; / Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-lĂ  ! »
Jesuis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne oeuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ. 1 Thessaloniciens 5:24 Celui qui vous a appelés est fidÚle, et c'est lui qui le fera. thy mercy. Psaume 100:5 Car l'Eternel est bon; sa bonté dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération. Psaume 103:17

ï»żNous vivons dans un monde rempli d’épreuves et de vents contraires, de combats et de luttes de toute nature. Et quand cela perdure dans notre vie, nous avons parfois tendance Ă  perdre confiance en l’Éternel. Nous devenons tellement abattus que parfois nous nous interrogeons secrĂštement pour savoir si notre marche avec le Seigneur comporte aussi des saisons de rĂ©compenses, compte tenu de ces interminables tribulations dans nos vies. Dans Philippiens 1 6 LSG l’ApĂŽtre Paul Ă©crit ceci Ă  ses frĂšres de cette contrĂ©e Je suis persuadĂ© que celui qui a commencĂ© en vous cette bonne Ɠuvre la rendra parfaite pour le jour de JĂ©sus-Christ ». VoilĂ  un verset que plusieurs d’entre nous avons dĂ©jĂ  entendu ou mĂȘme citĂ©, sans forcĂ©ment en avoir la rĂ©vĂ©lation pour qu’il s’imprime au plus profond de nos cƓurs. Voici quelques vĂ©ritĂ©s que rĂ©vĂšle ce verset qu’il nous faut nous approprier, afin de retrouver confiance en Dieu et marcher avec l’assurance qu’Il achĂšvera la bonne Ɠuvre qu’Il a commencĂ©e en nous. 1. Dieu ne se repent jamais de Son appel. Une des choses qui nous poussent Ă  perdre parfois confiance en Dieu ou en nous, c’est la peur d’ĂȘtre abandonnĂ©s, rejetĂ©s, ignorĂ©s, etc., en cours de chemin, Ă  cause de la nature des hommes qui nous entourent. Et cela amĂšne plusieurs personnes Ă  marcher dans la mĂ©fiance plutĂŽt que dans l’assurance. Il n’y a rien de tel chez le Dieu vivant. IL est fidĂšle et Il veille sur Sa Parole pour l’exĂ©cuter » JĂ©rĂ©mie 1 12, Sa Parole ne retourne jamais Ă  Lui sans accomplir Sa volontĂ© ou Ses desseins » EsaĂŻe 55 11. Et plus dĂ©terminant encore, la Bible dĂ©clare dans Romains 11 29 LSG Car Dieu ne se repent pas de Ses dons et de Son appel ». Ne perdez donc jamais confiance en vous, ni envers le plan de Dieu dans votre vie, parce que Dieu veillera Ă  accomplir Ses projets dans votre vie, puisque vous ĂȘtes un maillon essentiel pour la rĂ©ussite de Ses projets ici-bas. Ce qu’il a prĂ©vu que vous fassiez ici-bas, Il vous qualifiera, ensuite vous rendra capables de l’accomplir, peu importent les situations que vous traversez en ce moment. Son appel sur vous est ferme et dĂ©finitif. Il ne changera donc jamais Son plan, en ce qui vous concerne. 2. RĂ©sister avec une foi ferme aux assauts de l’ennemi. J’ai acquis la conviction que les Ă©preuves ne produisent pas la foi en nous, mĂȘme si nous nous en servons pour apprendre de nos erreurs, pour en tirer des leçons de patience, de persĂ©vĂ©rance et de courage. Cependant, le but recherchĂ© dans chaque Ă©preuve, c’est de veiller Ă  ce qu’elle ne s’éternise pas dans notre vie. Toutefois, ce que nous ne devrions jamais abandonner, c’est la foi. La Bible dĂ©clare que sans la foi, nul ne peut ĂȘtre agrĂ©able Ă  Dieu HĂ©breux 11 6. Alors, si nous voulons avancer avec confiance et assurance, si nous voulons obtenir tout le soutien du Royaume des cieux face aux assauts de l’ennemi, il nous faudra dĂ©velopper une foi ferme et inĂ©branlable. En effet dans 1 Pierre 5 8-9 LSG la Bible dĂ©clare Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rĂŽde comme un lion rugissant, cherchant qui il dĂ©vorera. RĂ©sistez-lui avec une foi ferme, sachant que les mĂȘmes souffrances sont imposĂ©es Ă  vos frĂšres dans le monde ». 3. Demander plus de la GrĂące de Dieu. Quand il nous arrive de perdre confiance en nous, c’est gĂ©nĂ©ralement parce que les choses les Ă©preuves ont tendance Ă  devenir difficiles ou compliquĂ©es. La bonne nouvelle est que notre Dieu, le PĂšre des lumiĂšres, renferme en Lui une grĂące infinie, capable de nous aider Ă  accomplir toutes les taches de notre vie prĂ©sente et future. Il nous suffit de nous humilier devant Son trĂŽne pour la Lui demander par la foi, avec un cƓur sincĂšre et sans orgueil. Et Lui qui est fidĂšle nous la donnera en abondance. Dans Jacques 1 17 LSG la Bible dĂ©clare Toute grĂące excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du PĂšre des lumiĂšres, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation ». Dans Jacques 4 6 LSG la Bible dĂ©clare encore Il accorde, au contraire, une grĂące plus excellente; c’est pourquoi l’Écriture dit Dieu rĂ©siste aux orgueilleux, mais, Il fait grĂące aux humbles ». 4. S’appuyer sur la capacitĂ© surnaturelle de Dieu. Nous aimerions tous avancer dans la vie, dans nos projets, dans notre ministĂšre, dans notre couple, etc., sans rencontrer ni dĂ©fis ni Ă©preuves. Mais malheureusement, cela n’est pas possible tant et aussi longtemps que nous sommes encore sur cette terre. En effet, le Seigneur Lui-mĂȘme nous a dit dans Jean 16 33 LSG Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en Moi. Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, J’ai vaincu le monde ». Quand les choses tournent mal, nous devrions toujours puiser nos capacitĂ©s auprĂšs de Christ. Aussi dans 2 Corinthiens 3 3-5 LSG la Bible dĂ©clare Vous ĂȘtes manifestement une lettre de Christ, Ă©crite, par notre ministĂšre, non avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cƓurs. Cette assurance-lĂ , nous l’avons par Christ auprĂšs de Dieu. Ce n’est pas Ă  dire que nous soyons par nous-mĂȘmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mĂȘmes. Notre capacitĂ©, au contraire, vient de Dieu ». 5. Garder les yeux fixĂ©s sur JĂ©sus. Le dernier point Ă  adopter pour reprendre confiance en soi, consiste Ă  garder constamment les yeux tournĂ©s vers Christ, l’auteur et le consommateur de notre foi HĂ©breux 12 2, tout en continuant Ă  parler Ă  la montagne, plutĂŽt que de parler de la montagne. Sois-en certain; le Seigneur ne s’arrĂȘtera pas en chemin pour t’abandonner Ă  toi-mĂȘme; bien au contraire! Il en va de Son honneur et de Sa renommĂ©e que d’achever Son Ɠuvre en toi ; afin qu’au travers de toi, les gens apprennent Ă  Le dĂ©couvrir mais aussi Ă  reconnaĂźtre Sa grandeur. Lui-mĂȘme veille donc sur toi, pendant que Son esprit continue de te transformer en la mĂȘme image que Lui. En effet dans 1 Corinthiens 3 18 LSG la Bible dĂ©clare Nous tous qui, le visage dĂ©couvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformĂ©s en la mĂȘme image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit ». Ainsi, ne perdons pas espoir, ne baissons pas non plus les bras mais ayons confiance en Dieu. Le Chef qui a commencĂ© cette belle Ɠuvre en nous, a Ă  cƓur de nous transformer en chef-d’Ɠuvre, pour Sa gloire. Aussi Il ne nous abandonnera point, et Il ne nous laissera jamais tomber HĂ©breux 13 5 b. Ne promenons donc plus des regards inquiets. 1 Corinthiens 1 5-9 LSG Car en Lui, vous avez Ă©tĂ© comblĂ©s de toutes les richesses qui concernent la Parole et la connaissance, le tĂ©moignage de Christ ayant Ă©tĂ© solidement Ă©tabli parmi vous, de sorte qu’il ne vous manque aucun don, dans l’attente oĂč vous ĂȘtes de la manifestation de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Il vous affermira aussi jusqu’à la fin, pour que vous soyez irrĂ©prochables au jour de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Dieu est fidĂšle, Lui qui vous a appelĂ©s Ă  la communion de Son Fils, JĂ©sus-Christ notre Seigneur ».

celui qui a commencé cette bonne oeuvre
Laterre elle, avait commencé à enfiler son manteau d'hiver, le sol devenait dur comme de la pierre et plus rien n'y poussait, une couche blanche se posa sur ses épaules, la neige était là et rendait le paysage aussi net qu'aux premiers jours, pas une trace, sauf la vie du dehors, j'attendrais les beaux jours dit-elle pour voir à nouveau
Le gouvernement qui Ă©tablira le Paradis Pendant son sĂ©jour terrestre, JĂ©sus dit Ă  ses disciples de prier en ces termes pour le Royaume de Dieu “Que ton royaume vienne! Que ta volontĂ© se fasse, comme dans le ciel, aussi sur la terre!” Matthieu 69, 10. De plus, il n’a cessĂ© de parler de “la bonne nouvelle du royaume”. Matthieu 423. En fait, il a parlĂ© davantage du Royaume que de n’importe quel autre sujet. Pour quelle raison? C’est parce que le Royaume est l’instrument dont Dieu se servira pour rĂ©soudre les problĂšmes qui rendent la vie si difficile aujourd’hui. Par l’entremise du Royaume, Dieu mettra fin aux guerres, Ă  la famine, Ă  la maladie, Ă  la criminalitĂ©, et ramĂšnera l’unitĂ© et la paix. Souhaiteriez-​vous vivre dans un monde comme celui-lĂ ? Si oui, vous devez lire cette brochure. Vous y apprendrez que le Royaume est un gouvernement, mais qu’il est supĂ©rieur Ă  tous les gouvernements qui ont jamais dirigĂ© les humains. Vous verrez aussi la maniĂšre saisissante avec laquelle Dieu a expliquĂ© petit Ă  petit Ă  ses serviteurs ses desseins relatifs au Royaume. En outre, vous dĂ©couvrirez quelle aide le Royaume peut vous apporter dĂšs Ă  prĂ©sent. En fait, il vous est possible de devenir un sujet du Royaume. Mais avant de faire un tel choix, vous avez besoin d’en savoir plus. Aussi nous vous encourageons Ă  examiner cette brochure. Tout ce qu’elle vous apprendra sur le Royaume est basĂ© sur la Bible. Mais voyons tout d’abord pourquoi nous avons tant besoin du Royaume de Dieu. Au dĂ©but de l’histoire humaine, Dieu fit l’homme parfait et il le plaça dans un paradis. À cette Ă©poque-​lĂ , il n’y avait pas besoin du Royaume. Cependant, Adam et Ève, nos premiers parents, ont Ă©coutĂ© Satan, un ange rebelle. Celui-ci leur a racontĂ© des mensonges sur Dieu et il les a amenĂ©s Ă  se rebeller contre lui. Ils mĂ©ritaient donc de mourir, car “le salaire que paie le pĂ©chĂ©, c’est la mort”. — Romains 623. Un homme imparfait et pĂ©cheur ne peut avoir d’enfants parfaits. Aussi tous les enfants d’Adam sont-​ils nĂ©s imparfaits, pĂ©cheurs et mortels. — Romains 512. DĂšs lors, les humains ont eu besoin du Royaume de Dieu pour les aider Ă  s’affranchir de la malĂ©diction du pĂ©chĂ© et de la mort. Le Royaume lavera aussi le nom de Dieu des mensonges que Satan a profĂ©rĂ©s contre lui. JĂ©hovah Dieu promit qu’une “postĂ©ritĂ©â€ spĂ©ciale ou descendance naĂźtrait pour dĂ©livrer les humains du pĂ©chĂ© GenĂšse 315. Cette “postĂ©ritĂ©â€ serait le Roi du Royaume de Dieu. De qui allait-​il s’agir? Environ 2 000 ans aprĂšs qu’Adam eut pĂ©chĂ© vivait un homme trĂšs fidĂšle du nom d’Abraham. JĂ©hovah dit Ă  Abraham de quitter sa ville natale et d’habiter sous des tentes en Palestine. Abraham fit tout ce que JĂ©hovah lui demandait, y compris une chose trĂšs difficile. JĂ©hovah lui ordonna de sacrifier son fils Isaac sur un autel. À vrai dire, JĂ©hovah ne dĂ©sirait pas un sacrifice humain. Mais il tenait Ă  savoir jusqu’à quel point Abraham l’aimait. Abraham s’apprĂȘtait Ă  tuer Isaac lorsque JĂ©hovah l’en empĂȘcha. En raison de la grande foi d’Abraham, JĂ©hovah fit la promesse de donner le pays de la Palestine Ă  sa descendance; de plus, il annonça que la PostĂ©ritĂ© promise serait issue de sa lignĂ©e et de celle de son fils Isaac. — GenĂšse 2217, 18; 264, 5. Isaac eut des fils jumeaux, ÉsaĂŒ et Jacob. JĂ©hovah dĂ©clara que la PostĂ©ritĂ© promise viendrait par Jacob. — GenĂšse 2813-15. Jacob, Ă  qui JĂ©hovah donna aussi le nom d’IsraĂ«l, eut 12 fils qui eurent Ă  leur tour des enfants. Les descendants d’Abraham commencĂšrent ainsi Ă  se multiplier. — GenĂšse 468-27. Lorsqu’une famine grave sĂ©vit dans la rĂ©gion, Jacob et sa famille descendirent en Égypte sur l’invitation de Pharaon, le souverain d’Égypte. — GenĂšse 4516-20. C’est en Égypte qu’on apprit que la PostĂ©ritĂ© promise serait un descendant de Juda, un des fils de Jacob. — GenĂšse 4910. Par la suite Jacob mourut, et ses descendants se multipliĂšrent au point de devenir semblables Ă  une nation. Alors les Égyptiens prirent peur et ils les rĂ©duisirent en esclavage. — Exode 17-14. Finalement, JĂ©hovah envoya MoĂŻse, un homme trĂšs fidĂšle, pour exiger que le pharaon de l’époque laisse sortir d’Égypte les enfants d’IsraĂ«l. — Exode 610, 11. Devant le refus de Pharaon, JĂ©hovah fit venir dix plaies sur les Égyptiens. Comme derniĂšre plaie, il envoya l’ange de la mort pour tuer tous les fils premiers-nĂ©s d’Égypte. — Exode chapitres 7 Ă  12. Dieu dit aux IsraĂ©lites que s’ils Ă©gorgeaient un agneau pour leur repas du soir et appliquaient son sang sur les montants de leurs portes, l’ange de Dieu passerait par-dessus leurs maisons. Ainsi les premiers-nĂ©s d’IsraĂ«l furent sauvĂ©s. — Exode 121-35. RĂ©sultat, Pharaon ordonna aux IsraĂ©lites de quitter le pays. AprĂšs quoi, il se ravisa et les poursuivit afin de les ramener en Égypte. JĂ©hovah ouvrit un passage Ă  travers la mer Rouge pour que les IsraĂ©lites s’échappent. Quand Pharaon et ses armĂ©es tentĂšrent de les suivre, ils furent noyĂ©s. — Exode 155-21. JĂ©hovah conduisit les fils d’IsraĂ«l dans le dĂ©sert vers une montagne appelĂ©e SinaĂŻ. LĂ , il leur donna sa loi. S’ils la gardaient, ils deviendraient un royaume de prĂȘtres et une nation sainte. Avec le temps les IsraĂ©lites ont donc eu la possibilitĂ© d’occuper une place importante dans le Royaume de Dieu. — Exode 196; 243-8. AprĂšs que les IsraĂ©lites eurent sĂ©journĂ© environ un an au mont SinaĂŻ, JĂ©hovah les conduisit vers la Palestine, le pays qu’il avait promis Ă  Abraham, leur ancĂȘtre. En Palestine, Dieu permit par la suite aux IsraĂ©lites d’ĂȘtre dirigĂ©s par des rois. À cette Ă©poque-​lĂ , il disposait d’un royaume sur la terre. Le deuxiĂšme roi d’IsraĂ«l fut David, un descendant de Juda. David l’emporta sur tous les ennemis d’IsraĂ«l, et il fit de JĂ©rusalem la capitale de la nation. Les Ă©vĂ©nements survenus au cours du rĂšgne de David rĂ©vĂšlent que lorsque JĂ©hovah soutient un roi, aucun dirigeant humain ne peut le vaincre. Selon la parole de JĂ©hovah, la PostĂ©ritĂ© promise serait un descendant de David. — I Chroniques 177, 11, 14. Salomon, le fils de David, rĂ©gna Ă  sa suite. Ce fut un roi sage, et IsraĂ«l connut la prospĂ©ritĂ© sous son rĂšgne. En outre, Salomon construisit un magnifique temple pour JĂ©hovah Ă  JĂ©rusalem. Les conditions qui existaient en IsraĂ«l sous le rĂšgne de Salomon illustrent quelques-unes des bĂ©nĂ©dictions que le Royaume de Dieu apportera sous peu Ă  l’humanitĂ©. — I Rois 424, 25. Toutefois, bon nombre de rois qui ont succĂ©dĂ© Ă  Salomon se sont montrĂ©s infidĂšles. Tandis que les descendants de David rĂ©gnaient encore Ă  JĂ©rusalem, JĂ©hovah se servit de son prophĂšte ÉsaĂŻe pour annoncer la venue d’un fils de David qui se montrerait fidĂšle et dominerait sur toute la terre. C’est lui qui serait la PostĂ©ritĂ© promise. — ÉsaĂŻe 96, 7. Le prophĂšte ÉsaĂŻe annonça que sa domination serait encore plus glorieuse que celle de Salomon. — ÉsaĂŻe chapitres 11 et 65. DĂšs lors, les serviteurs de Dieu se demandaient plus que jamais qui serait cette PostĂ©ritĂ©. Avant la venue de la PostĂ©ritĂ©, les rois d’IsraĂ«l devinrent si mauvais que JĂ©hovah laissa les Babyloniens conquĂ©rir cette nation en 607 avant notre Ăšre. La plupart de ses habitants furent exilĂ©s Ă  Babylone. Mais Dieu n’avait pas oubliĂ© sa promesse. La PostĂ©ritĂ© allait apparaĂźtre dans la lignĂ©e de David. — ÉzĂ©chiel 2125-27. L’histoire de la nation d’IsraĂ«l montre que si un roi humain fidĂšle peut apporter des bienfaits, ceux-ci restent nĂ©anmoins limitĂ©s. Les hommes fidĂšles meurent et leurs successeurs ne le sont pas toujours. De quoi les humains avaient-​ils donc besoin? De la PostĂ©ritĂ© promise. Enfin, aprĂšs une attente de plusieurs milliers d’annĂ©es, la PostĂ©ritĂ© est apparue. Qui Ă©tait-​elle? C’est Ă  une jeune fille israĂ©lite nommĂ©e Marie qu’un ange de Dieu fournit la rĂ©ponse Ă  cette question. Il lui annonça qu’elle allait avoir un fils dont le nom serait JĂ©sus. Voici les paroles de l’ange “Celui-ci sera grand, et on l’appellera Fils du TrĂšs-Haut; et JĂ©hovah Dieu lui donnera le trĂŽne de David, son pĂšre, et il rĂ©gnera.” — Luc 132, 33. Ainsi JĂ©sus devait ĂȘtre la PostĂ©ritĂ© promise et, en dĂ©finitive, le Roi du Royaume de Dieu. Mais pourquoi JĂ©sus Ă©tait-​il diffĂ©rent des hommes fidĂšles qui avaient vĂ©cu avant lui? C’est que JĂ©sus est nĂ© par suite d’un miracle. Sa mĂšre Ă©tait une vierge, et il n’a pas eu de pĂšre humain. Auparavant, JĂ©sus vivait au ciel. De lĂ , l’esprit saint de Dieu, sa force active, transfĂ©ra la vie de JĂ©sus dans le ventre de Marie. JĂ©sus n’a donc pas hĂ©ritĂ© du pĂ©chĂ© d’Adam et tout au long de sa vie il n’a pas pĂ©chĂ©. — I Pierre 222. À l’ñge de 30 ans, JĂ©sus a Ă©tĂ© baptisĂ©. Il a parlĂ© du Royaume de Dieu et s’est prĂ©sentĂ© finalement en tant que Roi de ce Royaume. — Matthieu 423; 214-11. JĂ©sus a aussi accompli de nombreux miracles. Il a guĂ©ri des malades. — Matthieu 935. Il a nourri miraculeusement des ventres affamĂ©s. — Matthieu 1414-22. Il a mĂȘme ressuscitĂ© des morts. — Jean 1138-44. Ces miracles illustrent ce que JĂ©sus accomplira en faveur des humains en tant que Roi du Royaume de Dieu. Vous souvenez-​vous de la façon dont le roi David a fait de JĂ©rusalem la capitale de son royaume? JĂ©sus a expliquĂ© que le Royaume de Dieu ne serait pas Ă©tabli sur la terre, mais au ciel Jean 1836. C’est pourquoi le Royaume est appelĂ© la “JĂ©rusalem cĂ©leste”. — HĂ©breux 1222, 28. JĂ©sus a Ă©noncĂ© les lois auxquelles devaient obĂ©ir ceux qui seraient les sujets du Royaume. Ces lois se trouvent dans la Bible. Voici les plus importantes On doit aimer Dieu et aimer son prochain. — Matthieu 2237-39. JĂ©sus a rĂ©vĂ©lĂ© qu’il ne serait pas seul Ă  rĂ©gner. Des humains seraient choisis pour aller au ciel et y rĂ©gner avec lui Luc 1232; Jean 143. Quel serait leur nombre? RĂ©vĂ©lation 141 fournit la rĂ©ponse 144 000. Mais si seulement 144 000 personnes vont au ciel pour rĂ©gner avec JĂ©sus, quelle espĂ©rance le reste de l’humanitĂ© peut-​il nourrir? La Bible dit “Les justes possĂ©deront la terre, et sur elle ils rĂ©sideront pour toujours.” — Psaume 3729. Ceux qui vivront sur la terre pour toujours sont appelĂ©s les “autres brebis”. — Jean 1016. Ainsi, il y a deux espĂ©rances. JĂ©hovah Dieu a invitĂ© 144 000 humains Ă  aller au ciel pour y rĂ©gner avec JĂ©sus Christ. Mais des millions d’autres humains ont l’espĂ©rance certaine de vivre sur la terre pour toujours en tant que sujets de son Royaume. — RĂ©vĂ©lation 510. Satan a haĂŻ JĂ©sus et s’est opposĂ© Ă  lui. AprĂšs que JĂ©sus eut prĂȘchĂ© pendant trois ans et demi, Satan l’a fait arrĂȘter et mettre Ă  mort; JĂ©sus fut clouĂ© sur un poteau. Pourquoi Dieu a-​t-​il permis ce meurtre? Souvenons-​nous que nous sommes descendants d’Adam et que, par consĂ©quent, nous pĂ©chons tous et mĂ©ritons la mort. — Romains 623. Souvenons-​nous aussi qu’en raison du caractĂšre miraculeux de sa naissance, JĂ©sus Ă©tait parfait et ne mĂ©ritait pas de mourir. Cependant, Dieu permit Ă  Satan de meurtrir JĂ©sus au talon’ afin de le tuer. Mais Dieu l’a ramenĂ© Ă  la vie en tant qu’esprit immortel. Puisque JĂ©sus possĂšde toujours le droit Ă  la vie humaine parfaite, il peut s’en servir pour nous racheter du pĂ©chĂ©. — GenĂšse 315; Romains 512, 21; Matthieu 2028. Afin de nous aider Ă  comprendre pleinement la signification du sacrifice de JĂ©sus, la Bible en parle au moyen d’images prophĂ©tiques. Vous rappelez-​vous que JĂ©hovah mit l’amour d’Abraham Ă  l’épreuve quand il lui ordonna de sacrifier son fils? C’était une image prophĂ©tique du sacrifice de JĂ©sus. Cela montrait tout l’amour de JĂ©hovah pour l’humanitĂ©. En effet, celui-ci alla jusqu’à permettre que son Fils meure pour nous, afin que nous ayons la vie. — Jean 316. Vous rappelez-​vous la façon dont JĂ©hovah a dĂ©livrĂ© les IsraĂ©lites d’Égypte et a sauvĂ© leurs premiers-nĂ©s en amenant l’ange de la mort Ă  passer par-dessus eux? — Exode 1212, 13. C’était aussi une image prophĂ©tique. De mĂȘme que le sang de l’agneau a signifiĂ© la vie pour les premiers-nĂ©s des IsraĂ©lites, de mĂȘme le sang de JĂ©sus signifie la vie pour ceux qui croient en lui. Et de mĂȘme que les Ă©vĂ©nements de cette nuit-​lĂ  ont signifiĂ© la libertĂ© pour les IsraĂ©lites, pareillement la mort de JĂ©sus affranchit l’humanitĂ© du pĂ©chĂ© et de la mort. C’est la raison pour laquelle JĂ©sus est appelĂ© “l’Agneau de Dieu qui ĂŽte le pĂ©chĂ© du monde”. — Jean 129. Toutefois, pendant qu’il Ă©tait sur la terre, JĂ©sus a rassemblĂ© des disciples et il les a formĂ©s pour prĂȘcher la bonne nouvelle du Royaume, mĂȘme aprĂšs sa mort. — Matthieu 105; Luc 101. Ces disciples furent les premiers humains que Dieu choisit pour rĂ©gner avec le Christ dans son Royaume. — Luc 1232. Vous souvenez-​vous de cette promesse que Dieu a faite aux Juifs S’ils gardaient sa Loi, ils seraient “un royaume de prĂȘtres”. À prĂ©sent, ils avaient l’occasion de faire partie du Royaume de Dieu et de servir comme prĂȘtres dans le ciel s’ils acceptaient JĂ©sus. Mais la plupart d’entre eux l’ont rejetĂ©. Aussi, Ă  partir de cette Ă©poque, les Juifs ont cessĂ© d’ĂȘtre la nation Ă©lue de Dieu. DĂ©sormais la Palestine n’était plus la Terre promise. — Matthieu 2143; 2337, 38. Depuis l’époque de JĂ©sus et jusqu’à nos jours, JĂ©hovah a rassemblĂ© ceux qui allaient rĂ©gner au ciel avec JĂ©sus. Quelques milliers d’entre eux vivent encore sur la terre. Nous les appelons le reste oint. — RĂ©vĂ©lation 1217. Vous commencez Ă  voir maintenant ce qu’est le Royaume de Dieu. Il s’agit d’un gouvernement cĂ©leste dont le Roi est JĂ©sus Christ et auquel se joignent les 144 000 qui viennent de la terre. Sa domination s’étendra sur les humains fidĂšles et il aura le pouvoir d’établir la paix sur la terre. AprĂšs sa mort, JĂ©sus a Ă©tĂ© ressuscitĂ© et il est allĂ© au ciel. LĂ  il a attendu que Dieu lui fixe le moment oĂč il devait commencer Ă  rĂ©gner en tant que Roi du Royaume de Dieu Psaume 1101. Quand cela devait-​il se produire? JĂ©hovah a parfois donnĂ© des rĂȘves Ă  des humains pour leur communiquer des renseignements concernant son Royaume. Aux jours de Daniel, JĂ©hovah a donnĂ© un tel rĂȘve Ă  NĂ©bucadnezzar, roi de Babylone. Dans ce rĂȘve, celui-ci vit un arbre immense. — Daniel 410-37. L’arbre fut abattu et son tronc fut liĂ© pendant sept ans. L’arbre reprĂ©sentait NĂ©bucadnezzar. De mĂȘme que le tronc fut liĂ© pendant sept ans, de mĂȘme NĂ©bucadnezzar perdit la raison sept annĂ©es durant. AprĂšs quoi NĂ©bucadnezzar retrouva la raison. Toutes ces choses Ă©taient une image prophĂ©tique. NĂ©bucadnezzar reprĂ©sentait la domination universelle de JĂ©hovah. Au dĂ©part, celle-ci fut exercĂ©e par l’intermĂ©diaire des descendants du roi David Ă  JĂ©rusalem. Quand Babylone a vaincu JĂ©rusalem en 607 avant notre Ăšre, cette lignĂ©e de rois fut interrompue. Il ne devait plus y avoir de roi issu de la postĂ©ritĂ© de David “jusqu’à ce que vienne celui qui a le droit lĂ©gal”. ÉzĂ©chiel 2127. Ce fut JĂ©sus Christ. Combien de temps devait-​il s’écouler entre 607 avant notre Ăšre et le moment oĂč JĂ©sus devait commencer Ă  rĂ©gner? Sept annĂ©es prophĂ©tiques, soit 2 520 annĂ©es RĂ©vĂ©lation 126, 14. Ces 2 520 ans dĂ©butent en 607 avant notre Ăšre et s’achĂšvent en 1914. JĂ©sus a donc commencĂ© son rĂšgne dans les cieux en 1914. De quoi Ă©tait-​ce le signe? La Bible nous le dit par le moyen d’une vision qu’a eue l’apĂŽtre Jean. Jean a vu une femme dans le ciel qui donnait naissance Ă  un enfant mĂąle. — RĂ©vĂ©lation 121-12. La femme reprĂ©sentait l’organisation cĂ©leste de Dieu, organisation qui se compose de tous les serviteurs angĂ©liques de Dieu dans le ciel. L’enfant mĂąle reprĂ©sente le Royaume de Dieu. Ce Royaume est “nĂ©â€ en 1914. Que s’est-​il ensuite produit? La premiĂšre action de JĂ©sus en tant que Roi fut de chasser des cieux Satan et les anges qui s’étaient rebellĂ©s avec lui. JĂ©sus les a prĂ©cipitĂ©s sur la terre. — RĂ©vĂ©lation 129. La Bible en dĂ©crit les effets “RĂ©jouissez-​vous, cieux, et vous qui y rĂ©sidez! Malheur Ă  la terre et Ă  la mer, car le Diable est descendu vers vous, ayant une grande colĂšre, sachant qu’il a une courte pĂ©riode de temps.” — RĂ©vĂ©lation 1212. Ainsi, lorsque JĂ©sus a commencĂ© son rĂšgne au ciel, ses ennemis sont devenus trĂšs actifs sur la terre. Comme la Bible l’avait annoncĂ©, JĂ©sus a commencĂ© Ă  rĂ©gner au milieu de ses ennemis. — Psaume 1101, 2. Quelles en seraient les consĂ©quences pour l’humanitĂ©? JĂ©sus fait cette rĂ©ponse des guerres, des famines, des maladies, des tremblements de terre. — Matthieu 247, 8; Luc 2110, 11. Depuis 1914, nous subissons ces flĂ©aux. C’est une preuve supplĂ©mentaire attestant que la domination du Royaume a commencĂ© cette annĂ©e-​lĂ . Le livre de la RĂ©vĂ©lation nous dit que les hommes saccageraient la terre’. RĂ©vĂ©lation 1118 N’en sommes-​nous pas particuliĂšrement tĂ©moins depuis 1914? L’apĂŽtre Paul a ajoutĂ© que les hommes seraient “amis d’eux-​mĂȘmes, amis de l’argent, ... dĂ©sobĂ©issants aux parents, ... intraitables, calomniateurs, sans maĂźtrise de soi”. — II TimothĂ©e 31-5. Comprenez-​vous maintenant pourquoi la vie est si dure aujourd’hui? Satan n’est pas restĂ© inactif. Mais le Royaume a lui aussi Ă©tĂ© Ă  l’Ɠuvre. Peu aprĂšs 1914, le reste de ceux qui ont l’espĂ©rance de rĂ©gner au ciel avec JĂ©sus a commencĂ© Ă  annoncer la bonne nouvelle du Royaume Ă©tabli. Cette Ɠuvre s’est propagĂ©e sur toute la terre, comme JĂ©sus l’avait annoncĂ©. — Matthieu 2414. Dans quel but cette prĂ©dication est-​elle effectuĂ©e? PremiĂšrement, c’est pour que les hommes apprennent Ă  connaĂźtre le Royaume de Dieu. DeuxiĂšmement, cela les aide Ă  choisir de devenir sujets du Royaume. JĂ©sus a dit qu’à notre Ă©poque tous les hommes seraient sĂ©parĂ©s les uns des autres, de sorte qu’avec le temps il y aurait d’un cĂŽtĂ© les “brebis” et de l’autre les “chĂšvres”. — Matthieu 2531-46. Les “brebis” lui auront tĂ©moignĂ© de l’amour ainsi qu’à ses frĂšres, ce que les “chĂšvres” n’auront pas fait. Les “brebis” obtiendront la vie Ă©ternelle qui sera refusĂ©e aux “chĂšvres”. La prĂ©dication de la bonne nouvelle du Royaume amĂšnera les humains Ă  dĂ©montrer s’ils sont comparables aux brebis ou aux chĂšvres. Voici l’une des prophĂ©ties d’ÉsaĂŻe “Et il adviendra sans faute, dans la pĂ©riode finale des jours, que la montagne de la maison de JĂ©hovah se trouvera solidement Ă©tablie au-dessus du sommet des montagnes, et elle sera Ă©levĂ©e au-dessus des collines; et vers elle devront affluer toutes les nations.” — ÉsaĂŻe 22. L’humanitĂ© vit aujourd’hui dans “la pĂ©riode finale des jours”. La “maison” de culte de JĂ©hovah est â€œĂ©levĂ©e” au-dessus des fausses religions. “Et assurĂ©ment de nombreux peuples iront et diront Venez et montons Ă  la montagne de JĂ©hovah, Ă  la maison du Dieu de Jacob; et il nous instruira de ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers.’” — ÉsaĂŻe 23. Ainsi, des gens de toutes les nations viennent adorer JĂ©hovah et invitent leurs semblables Ă  se joindre Ă  eux. Ils apprennent Ă  agir en conformitĂ© avec la volontĂ© de JĂ©hovah. “Et ils devront forger leurs Ă©pĂ©es en socs de charrue et leurs lances en cisailles Ă  Ă©monder. Une nation ne lĂšvera pas l’épĂ©e contre une nation, et ils n’apprendront plus la guerre.” — ÉsaĂŻe 24. Les adorateurs de JĂ©hovah sont unis et paisibles. L’action du Royaume de Dieu a eu pour effet d’amener des millions d’humains Ă  devenir ses sujets. Ils se rassemblent autour du reste de ceux qui ont pour espĂ©rance d’aller au ciel et de rĂ©gner avec Christ. L’organisation de Dieu leur dispense la nourriture spirituelle. — Matthieu 2445-47. Ils forment une famille internationale de frĂšres qui ont un amour vĂ©ritable les uns pour les autres. — Jean 1335. Ils connaissent la paix de l’esprit et ont une espĂ©rance. — Philippiens 47. BientĂŽt la bonne nouvelle aura Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e et les “brebis” seront identifiĂ©es. Que fera alors le Royaume? Souvenez-​vous Le fidĂšle roi David a vaincu tous les ennemis du peuple de Dieu. Eh bien, le Roi JĂ©sus fera de mĂȘme. Jadis, le roi NĂ©bucadnezzar a vu en rĂȘve une image immense qui Ă©tait le symbole de tous les empires mondiaux qui ont existĂ© depuis son Ă©poque jusqu’à nos jours. Puis il a vu une pierre se dĂ©tacher d’une montagne et venir briser l’image. Cette pierre reprĂ©sentait le Royaume de Dieu. Cela signifie la destruction du prĂ©sent systĂšme de choses mauvais. — Daniel 244. Voici quelques-uns des bouleversements provoquĂ©s par le Royaume La fausse religion disparaĂźtra, telle une meule lancĂ©e dans la mer. — RĂ©vĂ©lation 1821. C’est la raison pour laquelle tous ceux qui aiment Dieu sont encouragĂ©s Ă  sortir DÈS À PRÉSENT de la fausse religion. — RĂ©vĂ©lation 184. Puis le Roi JĂ©sus frappera les nations, et il les fera paĂźtre avec une baguette de fer’. — RĂ©vĂ©lation 1915. En consĂ©quence, les TĂ©moins de JĂ©hovah ne se mĂȘlent pas de politique, bien qu’ils paient leurs impĂŽts et obĂ©issent aux lois de leur pays. Finalement, Satan lui-​mĂȘme, le grand “dragon”, sera lancĂ© dans l’abĂźme. — RĂ©vĂ©lation 202, 3. Seules les “brebis”, autrement dit ceux qui se soumettent au Roi JĂ©sus, survivront Ă  cette tribulation. — Matthieu 2531-34, 41, 46. L’apĂŽtre Jean a vu en vision les “brebis” qui survivent Ă  la tribulation. “J’ai vu, et voici une grande foule que personne ne pouvait dĂ©nombrer, de toutes nations et tribus et peuples et langues, se tenant debout devant le trĂŽne et devant l’Agneau, vĂȘtus de longues robes blanches; et il y avait des palmes dans leurs mains.” — RĂ©vĂ©lation 79. La “grande foule” est composĂ©e de tous ceux qui rĂ©agissent favorablement Ă  la prĂ©dication de la bonne nouvelle. Ils “viennent de la grande tribulation”. — RĂ©vĂ©lation 714. Les “palmes” indiquent qu’ils acceptent JĂ©sus comme leur Roi. Le fait qu’ils portent des “robes blanches” signifie qu’ils ont foi dans le sacrifice de JĂ©sus. L’“Agneau”, c’est JĂ©sus Christ. À quelles bĂ©nĂ©dictions goĂ»tent-​ils? Souvenez-​vous combien IsraĂ«l Ă©tait heureux sous le rĂšgne du fidĂšle roi Salomon. Ce n’est qu’une image bien imparfaite du bonheur qui attend les hommes sous le rĂšgne de JĂ©sus. Il y aura vraiment la paix entre les humains et entre les hommes et les animaux, exactement comme ÉsaĂŻe l’a prĂ©dit. — Psaume 469; ÉsaĂŻe 116-9. Quant Ă  JĂ©sus, de mĂȘme qu’il a guĂ©ri les malades au temps oĂč il Ă©tait sur terre, de mĂȘme il ĂŽtera la maladie chez les hommes. — ÉsaĂŻe 3324. De mĂȘme qu’il a nourri des foules, de mĂȘme il supprimera les disettes qui frappent l’humanitĂ©. — Psaume 7216. De mĂȘme qu’il a ressuscitĂ© des morts, ainsi il rendra la vie Ă  ceux qui n’ont pas eu l’occasion de se soumettre au Royaume de Dieu. — Jean 528, 29. Petit Ă  petit, il ramĂšnera l’humanitĂ© Ă  l’état de perfection qu’Adam a perdu. Quel avenir merveilleux, n’est-​ce pas? Aimeriez-​vous le connaĂźtre? Si oui, agissez de façon Ă  vous soumettre dĂšs Ă  prĂ©sent au Royaume de Dieu et Ă  devenir une “brebis”. Étudiez la Bible et apprenez Ă  connaĂźtre JĂ©hovah Dieu et JĂ©sus Christ. — Jean 173. FrĂ©quentez les autres sujets du Royaume. — HĂ©breux 1025. Apprenez les lois du Royaume et observez-​les. — ÉsaĂŻe 23, 4. Vouez votre vie au service de JĂ©hovah et faites-​vous baptiser. — Matthieu 2819, 20. Fuyez le mal le vol, le mensonge, l’immoralitĂ©, l’ivrognerie, autant de choses qui dĂ©plaisent Ă  JĂ©hovah Dieu. — I Corinthiens 69-11. Participez Ă  la prĂ©dication de la bonne nouvelle du Royaume. — Matthieu 2414. Alors, avec l’aide de Dieu, vous verrez la restauration du Paradis qu’Adam a perdu pour ses descendants, et vous serez tĂ©moin de l’accomplissement de cette promesse “J’ai entendu une voix forte venant du trĂŽne, qui disait Voici, la tente de Dieu est avec les humains, et il rĂ©sidera avec eux, et ils seront ses peuples. Et Dieu lui-​mĂȘme sera avec eux. Et il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu.’” — RĂ©vĂ©lation 213, 4. [SchĂ©ma, page 20] Voir la publication 607 av. n. Ăš. 1914 de n. Ăš. av. n. Ăš. de n. Ăš. 500 1 000 1 500 2 000 2 520 [Illustrations, page 11] Abraham Isaac Jacob Juda David [Illustration, page 14] 144 000 [Illustration, page 16] Adam JĂ©sus

Textesde base : Philippiens 1:3-11; 1 Corinthiens 15 :10,11,57-58Autres textes : Actes 16:10-40; 1Thes.1:8-10; ÉphĂ©siens 1 :13-14; Jean 3:3-5; Colossiens 1:

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Celui qui a commencĂ© en vous cette bonne Ɠuvre la rendra parfaite pour le jour de JĂ©sus-Christ.» Philippiens‬ ‭1:6‬ ‭ - PoĂšmes chrĂ©tiens - Journal ChrĂ©tien
Nouveau Testament » Les EpĂźtres de Paul » 2 Corinthiens » chapitre 881 Nous vous faisons connaĂźtre, frĂšres, la grĂące de Dieu qui s'est manifestĂ©e dans les Églises de la MacĂ©doine. 82 Au milieu de beaucoup de tribulations qui les ont Ă©prouvĂ©es, leur joie dĂ©bordante et leur pauvretĂ© profonde ont produit avec abondance de riches libĂ©ralitĂ©s de leur part. 83 Ils ont, je l'atteste, donnĂ© volontairement selon leurs moyens, et mĂȘme au delĂ  de leurs moyens, 84 nous demandant avec de grandes instances la grĂące de prendre part Ă  l'assistance destinĂ©e aux saints. 85 Et non seulement ils ont contribuĂ© comme nous l'espĂ©rions, mais ils se sont d'abord donnĂ©s eux-mĂȘmes au Seigneur, puis Ă  nous, par la volontĂ© de Dieu. 86 Nous avons donc engagĂ© Tite Ă  achever chez vous cette oeuvre de bienfaisance, comme il l'avait commencĂ©e. 87 De mĂȘme que vous excellez en toutes choses, en foi, en parole, en connaissance, en zĂšle Ă  tous Ă©gards, et dans votre amour pour nous, faites en sorte d'exceller aussi dans cette oeuvre de bienfaisance. 88 Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour Ă©prouver, par le zĂšle des autres, la sincĂ©ritĂ© de votre charitĂ©. 89 Car vous connaissez la grĂące de notre Seigneur JĂ©sus Christ, qui pour vous s'est fait pauvre, de riche qu'il Ă©tait, afin que par sa pauvretĂ© vous fussiez enrichis. 810 C'est un avis que je donne lĂ -dessus, car cela vous convient, Ă  vous qui non seulement avez commencĂ© Ă  agir, mais qui en avez eu la volontĂ© dĂšs l'annĂ©e derniĂšre. 811 Achevez donc maintenant d'agir, afin que l'accomplissement selon vos moyens rĂ©ponde Ă  l'empressement que vous avez mis Ă  vouloir. 812 La bonne volontĂ©, quand elle existe, est agrĂ©able en raison de ce qu'elle peut avoir Ă  sa disposition, et non de ce qu'elle n'a pas. 813 Car il s'agit, non de vous exposer Ă  la dĂ©tresse pour soulager les autres, mais de suivre une rĂšgle d'Ă©galitĂ© dans la circonstance prĂ©sente votre superflu pourvoira Ă  leurs besoins, 814 afin que leur superflu pourvoie pareillement aux vĂŽtres, en sorte qu'il y ait Ă©galitĂ©, 815 selon qu'il est Ă©crit Celui qui avait ramassĂ© beaucoup n'avait rien de trop, et celui qui avait ramassĂ© peu n'en manquait pas. 816 GrĂąces soient rendues Ă  Dieu de ce qu'il a mis dans le coeur de Tite le mĂȘme empressement pour vous; 817 car il a accueilli notre demande, et c'est avec un nouveau zĂšle et de son plein grĂ© qu'il part pour aller chez vous. 818 Nous envoyons avec lui le frĂšre dont la louange en ce qui concerne l'Évangile est rĂ©pandue dans toutes les Églises, 819 et qui, de plus, a Ă©tĂ© choisi par les Églises pour ĂȘtre notre compagnon de voyage dans cette oeuvre de bienfaisance, que nous accomplissons Ă  la gloire du Seigneur mĂȘme et en tĂ©moignage de notre bonne volontĂ©. 820 Nous agissons ainsi, afin que personne ne nous blĂąme au sujet de cette abondante collecte, Ă  laquelle nous donnons nos soins; 821 car nous recherchons ce qui est bien, non seulement devant le Seigneur, mais aussi devant les hommes. 822 Nous envoyons avec eux notre frĂšre, dont nous avons souvent Ă©prouvĂ© le zĂšle dans beaucoup d'occasions, et qui en montre plus encore cette fois Ă  cause de sa grande confiance en vous. 823 Ainsi, pour ce qui est de Tite, il est notre associĂ© et notre compagnon d'oeuvre auprĂšs de vous; et pour ce qui est de nos frĂšres, ils sont les envoyĂ©s des Églises, la gloire de Christ. 824 Donnez-leur donc, Ă  la face des Églises, la preuve de votre charitĂ©, et montrez-leur que nous avons sujet de nous glorifier de vous. Maisje sais qu'elle m'attend, elle a besoin de moi. Son ombre est prĂ©sente dans chaque bouteille de vin que je bois, dans chaque homme que j'embrasse, dans chaque nuit d'Ă©tĂ© agitĂ©e. Je sais qu'elle m'attend car elle m'a fait confiance. Il est trop tard, elle a commencĂ© Ă  dĂ©baller l'horreur de sa vie, et je dois rĂ©ceptionner cette merde
Peintre du dimanche, scribouillard de petits textes 1,2 maxi 4 pages, drĂŽle en sociĂ©tĂ©, ai beaucoup aimĂ© puis le grand Coluche, aime la lecture SF, Thriller ainsi que des plus anciens ... [+] Quand le vent frappera Ă  ma porte, c'est que l'hiver sera bientĂŽt lĂ , avec son cortĂšge de gelĂ©e et de ne pas mettre une Ăąme me dit le vent dans un souffle qui faisait frissonner les quelques feuilles restantes sur les arbres, qui peinaient Ă  les allons avoir froid sans notre manteau dirent ceux-ci dans un murmure, une litanie qui nous faisait plus penser Ă  une supplication qu'Ă  une terre elle, avait commencĂ© Ă  enfiler son manteau d'hiver, le sol devenait dur comme de la pierre et plus rien n'y poussait, une couche blanche se posa sur ses Ă©paules, la neige Ă©tait lĂ  et rendait le paysage aussi net qu'aux premiers jours, pas une trace, sauf la vie du dehors, j'attendrais les beaux jours dit-elle pour voir Ă  nouveau l'herbe pousser et le vert je revivrais dit-elle encore, en pensant Ă  son ami le je vous rĂ©chaufferai dit celui-ci en rĂ©ponse, je chasserai pour vous le vent froid et ferais fondre la neige, nos amis les arbres se laisserons doucement et amoureusement envahir de petits bourgeons et de fleurs qui eux nous donneront parfums et fruits, enfin l'herbe verte repoussera doucement et se verra elle aussi parsemĂ© de fleurs qui offriront une palette de couleurs que ne reniera pas le peintre du dimanche que je suis. Vous aimerez aussi !Nouvelles Fleurs d'Ă©ternitĂ©Solange Dray Vendredi, en rentrant du bureau, encouragĂ©e par le beau temps, j’ai foncĂ© chez Lou, le vieux pĂ©piniĂ©riste du coin, pour lui prendre quelques beaux ... [+]Nouvelles ParachutePierre Lieutaud Le vieil avion tournoie dans l'air frais du matin pour atteindre l'altitude du saut. Un quart d'heure auparavant, nous avons quittĂ© le sol, une prairie qui sentait la rosĂ©e du matin, et moi, alignĂ© ... [+]LivreNitro-collection 8 €
Eten disant : «Sans parler de ce qui se cache Ă  l’intĂ©rieur,» le texte montre que plus encore que toutes les bonnes oeuvres, c'est la chastetĂ© seule, en ceux qui sont les ministres du peuple chrĂ©tien – en tant que cette chastetĂ© est visible aux hommes – qui rend belle l’Eglise, sans parler de ce qui, Ă  l'intĂ©rieur, dans le secret du coeur, est le plus beau aux
Question RĂ©ponse La providence divine est le moyen au travers duquel Dieu rĂ©git toutes choses dans l’univers. Selon la doctrine de la providence divine, Dieu exerce une maĂźtrise parfaite sur toutes choses l’univers dans son ensemble Psaumes le monde physique Matthieu les affaires des nations Psaumes la naissance et la destinĂ©e de tout homme Galates les succĂšs et les Ă©checs des hommes Luc et la protection de son peuple Psaumes Cette doctrine est en contradiction totale avec l’idĂ©e selon laquelle l’univers serait rĂ©gi par le hasard ou le destin. L’objectif, ou le dessein, de la divine providence est d’accomplir la volontĂ© de Dieu. Pour s’assurer que ses objectifs sont atteints, Dieu rĂ©git les affaires des hommes et agit Ă  travers l’ordre naturel. Les lois de la nature ne sont que le reflet de Dieu qui agit dans l’univers. Elles n’ont aucune puissance inhĂ©rente et ne fonctionnent pas par elles-mĂȘmes ce sont les rĂšgles et principes que Dieu a mis en place pour rĂ©gir le fonctionnement des choses. Il en est de mĂȘme des choix humains. TrĂšs concrĂštement, nous ne sommes libres de choisir ou que selon la volontĂ© de Dieu. Tous nos choix et nos actes, mĂȘme pĂ©cheurs, sont en plein accord avec sa volontĂ© GenĂšse Au final, Dieu dirige nos choix et nos actes GenĂšse DeutĂ©ronome Proverbes sans pour autant violer notre responsabilitĂ© d’acteurs moralement libres ni nier la rĂ©alitĂ© de notre choix. La doctrine de la providence divine peut ĂȘtre succinctement rĂ©sumĂ©e de la maniĂšre suivante Dieu, de toute Ă©ternitĂ©, sur le conseil de sa propre volontĂ©, a ordonnĂ© tout ce qui allait arriver ; mais il n’est en aucun cas l’auteur du pĂ©chĂ©, et la responsabilitĂ© humaine n’est pas abolie non plus. Dieu accomplit d’abord sa volontĂ© par des causes secondaires par ex. les lois de la nature ou les choix des hommes. Autrement dit, Dieu agit indirectement, par ces causes secondaires, pour accomplir sa volontĂ©. Dieu agit parfois aussi directement pour accomplir sa volontĂ©, par ce que nous appelons des miracles c’est-Ă -dire des Ă©vĂ©nements surnaturels, par opposition aux Ă©vĂ©nement naturels. Un miracle, c’est Dieu qui contourne l’ordre naturel pendant une courte durĂ©e, pour accomplir sa volontĂ© et ses desseins. Deux exemples tirĂ©s du livre des Actes montrent comment Dieu agit directement et indirectement pour accomplir sa volontĂ©. Il y a d’abord la conversion de SaĂŒl/Paul de Tarse en Actes 9 sa vie a Ă©tĂ© dĂ©finitivement transformĂ©e par une lumiĂšre aveuglante et une voix qu’il Ă©tait le seul Ă  entendre. Dieu, qui voulait utiliser Paul pour accomplir ses desseins, a employĂ© des moyens directs pour sa conversion. Bien peu d’autres personnes converties au christianisme ont une histoire comme celle-ci Ă  raconter. La plupart d’entre nous sommes venus Ă  Christ en entendant une prĂ©dication, en lisant un livre ou par le tĂ©moignage persistant d’un ami ou d’un membre de notre famille. De plus, il y a gĂ©nĂ©ralement des circonstances de nos vies, comme la perte d’un emploi ou d’un membre de notre famille, un Ă©chec conjugal ou une addiction, qui ouvrent la voie Ă  notre conversion. Celle de Paul fut directe et surnaturelle. En Actes on voit Dieu accomplir indirectement Sa volontĂ©. Cet Ă©pisode se dĂ©roule au cours du deuxiĂšme voyage missionnaire de Paul. Dieu voulait que Paul et ses compagnons aillent Ă  Troas, mais quand Paul a quittĂ© Antioche de Pisidie, il voulait se diriger vers l’Est, en Asie. La Bible dit que le Saint-Esprit les a empĂȘchĂ©s d’annoncer la Parole en Asie. Ils voulaient ensuite aller vers l’Ouest, en Bithynie, mais l’Esprit de Dieu les en a Ă©galement empĂȘchĂ©s. Alors, ils ont fini par aller Ă  Troas. Ce rĂ©cit a Ă©tĂ© Ă©crit aprĂšs les faits ; sur le moment, leur Ă©chec Ă  se rendre dans ces deux rĂ©gions s’expliquait sans doute par des motifs rationnels, mais par la suite, ils ont compris que c’était Dieu qui les avait dirigĂ©s lĂ  oĂč il voulait qu’ils aillent. C’est cela, la providence. Proverbes l’exprime ainsi Le cƓur de l’homme peut mĂ©diter sa voie, mais c’est l’Éternel qui dirige ses pas. » Il y a aussi ceux qui pensent que cette gouverne directe ou indirecte de Dieu sur toutes choses est incompatible avec le libre arbitre de l’homme. Si Dieu contrĂŽle tout, en quoi sommes-nous libres de nos dĂ©cisions ? Autrement dit, pour que le libre arbitre ait un sens, il faut bien qu’il y ait des choses qui Ă©chappent au contrĂŽle souverain de Dieu, comme par ex. les choix humains. Supposons un instant que ce soit le cas quelles en seraient les consĂ©quences ? Si Dieu ne contrĂŽle pas les choix humains, comment pourrait-il garantir notre salut ? Paul Ă©crit en Philippiens Celui qui a commencĂ© en vous cette bonne Ɠuvre la poursuivra jusqu’à son terme, jusqu’au jour de JĂ©sus-Christ. » Si Dieu n’était pas aux commandes de toutes choses, alors cette promesse, et toutes les autres promesses bibliques, seraient invalidĂ©es. Nous ne pourrions plus avoir la pleine assurance que la bonne Ɠuvre du salut commencĂ©e en nous serait poursuivie jusqu’à son terme. De plus, si Dieu n’est pas au contrĂŽle de toutes choses, alors il n’est pas souverain, et s’il n’est pas souverain, alors il n’est pas Dieu. DĂ©clarer que les choix humains Ă©chappent Ă  la sphĂšre de la dĂ©cision divine revient donc Ă  nier Dieu. Si notre libre arbitre » prime sur la providence divine, qui est Dieu au final ? C’est nous ! C’est Ă©videmment inacceptable d’un point de vue chrĂ©tien et biblique. La providence divine n’abolit pas notre libertĂ©, mais nous permet d’en user de maniĂšre appropriĂ©e. English Retour Ă  la page d'accueil en français Qu’est-ce que la providence divine ?

LaPensĂ©e de Joyce – MĂ©ditation quotidienne. Les chrĂ©tiens charnels et les chrĂ©tiens spirituels. 30. 00:00:00. 30. En effet, lorsque vous vous jalousez les uns les autres et que vous vous disputez, n’ĂȘtes-vous pas semblables Ă  des hommes livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, ne vous comportez-vous pas d’une maniĂšre tout humaine ? 1 Corinthiens 3.

L'Ă©tymologie du nom Soulages est sol agens », qui signifie soleil agissant ». Quelle justesse, car l'Ɠuvre de ce gĂ©ant agit sur le monde et l'Ă©claire de ses noirs fabuleux riches d'une si Ă©vidente intensitĂ© que quiconque pĂ©nĂštre » l'un de ses tableaux, une eau-forte, une lithographie, en revient bouleversĂ©. Son art touche avec une profondeur telle qu'il est difficile de s'en dĂ©tacher. La peinture de Pierre Soulages, dit Françoise Jaunin, qui a menĂ© de longs entretiens avec lui, est une expĂ©rience poĂ©tique qui se vit en direct. Ses toiles ne montrent rien qui leur soit extĂ©rieur ni ne renvoient Ă  rien d'autre qu'elles-mĂȘmes. » Et cette expĂ©rience, magique, les visiteurs du salon carrĂ© du Louvre, qui expose vingt de ses Ɠuvres, ou ceux du Centre Pompidou la ressentent mĂȘme s'ils ne sont pas seuls devant. Soulages conduit Ă  la gĂ©ant brosse et broie du noir lumineusement depuis ses trente ans. Lorsqu'il peint, son ouvrage, mĂȘme monumental, est posĂ© Ă  mĂȘme le sol. Ainsi, il est au cƓur mĂȘme de la matiĂšre. Le noir, cette couleur prĂ©historique », comme il aime le dire. La prĂ©histoire est d'ailleurs l'un de ces temps prĂ©fĂ©rĂ©s, lui nĂ© dans cette rĂ©gion de l'Aveyron Ă  Rodez, oĂč les vestiges de pierre tapissent le sous-sol qu'il fouillait dĂ©jĂ  adolescent avec un archĂ©ologue pour mettre au jour les tĂ©moignages datant de milliers d' pĂšre fabriquait des charrettes pour les chevaux. L'enfant avait cinq ans lorsqu'il mourut et il fut Ă©levĂ© par sa mĂšre et sa demi-sƓur. Un monde de femmes pour un enfant aimĂ©. Que peins-tu ? » lui demanda sa mĂšre, un jour qu'elle le voyait tremper son pinceau dans l'encre noire De la neige », rĂ©pond le futur gĂ©ant. De la neige noire, s'amusait-il longtemps plus tard
L'histoire devint lĂ©gendaire. À Conques, dans la cĂ©lĂšbre abbatiale Sainte-Foy, un chef-d'Ɠuvre de l'art roman, Ă  quelques kilomĂštres de Rodez, le jeune garçon, en visite avec sa classe, porte ses yeux sur la nef et ressent une illumination. Soit une lumiĂšre. Et il dĂ©cide que cette lumiĂšre sera sa vie et qu'il la passera Ă  la peindre, Ă  la rĂ©vĂ©ler. L'Ă©motion de ce jour-lĂ , je ne l'ai retrouvĂ©e que dans les Ɠuvres d'art. L'outrenoir provient de cette expĂ©rience initiale », apprenait-il Ă  la journaliste du Monde BĂ©atrice Gurrey. Au musĂ©e Fenaille, qui possĂšde un trĂ©sor d'art prĂ©historique exceptionnel et que Soulages visite chaque fois qu'il revient Ă  Rodez, devant l'une des statues menhir du Ier siĂšcle, il aime se recueillir, se cueillir Ă  nouveau, s'imprĂ©gnant du minĂ©ral comme de l'esprit. Peindre, c'est constamment renaĂźtre Ă  la peinture, au monde et aux questions qu'il pose. » En 1946, il a 27 ans et tente d'exposer pour la premiĂšre fois au Salon d'automne. Il y est refusĂ©, Ă©migre vers celui des SurindĂ©pendants, oĂč bien des Ă©trangers sont lĂ , il se sent comme eux, lui venu du centre de la France. Picabia le soutient et le dĂ©clare le meilleur du Salon. ». Une exposition le propulsera, et deux ans plus tard, il Ă©tait cĂ©lĂšbre et cĂ©lĂšbrĂ© dĂ©jĂ  de l'autre cĂŽtĂ© de l' 2018, l'une de ses Ɠuvres battra le record de 10 millions de dollars chez Christie's Ă  New York et lui Ă©tait dĂ©cernĂ© le titre du peintre vivant le plus cher du monde. Ce dont il se fiche totalement. Autre record qui lui plaĂźt, celui-lĂ , celui d'ĂȘtre le seul peintre vivant exposĂ© Ă  l'Ermitage de Saint-PĂ©tersbourg. Au Japon, il a reçu le prix Praemium qui honore les trĂ©sors vivants ». Comme cela est juste le concernant. J'ai toujours autant de plaisir Ă  peindre », dit-il Ă  cent ans. Quand j'ai commencĂ© Ă  faire de la peinture, je pensais qu'il fallait avoir son tableau dans la tĂȘte avant de le rĂ©aliser. Mais j'ai bientĂŽt compris que peindre dans sa tĂȘte, c'est trĂšs mauvais. Se plier Ă  une idĂ©e ou image prĂ©conçues, c'est Ă  coup sĂ»r appauvrir d'emblĂ©e son tableau de tout ce qui pourrait surgir dans le travail. La peinture est l'exercice d'une libertĂ©. J'aime l'acte de peindre enracinĂ© dans la matiĂšre, avec tout ce qu'il mobilise en nous dans le "se faisant", l'espace, le rythme. »Soulages, qui a dit La peinture est l'Ă©tat d'absence de mots », sait dire. Ses fameux noirs dĂ©gagent des couleurs. À travers ses coups de brosse se laissent entrevoir des tons de rouge, de brun, de bleu. On les voit au musĂ©e Soulages Ă  Rodez auquel sa femme, Colette ils se sont mariĂ©s en 1942 tout de noir vĂȘtus, et lui ont lĂ©guĂ© une grande partie de l'Ɠuvre – 250 Ɠuvres –, musĂ©e inaugurĂ© en 2014 et qui ne dĂ©semplit pas ; et s'il accepta que ce musĂ©e porte son nom, ce fut Ă  condition que d'autres artistes soient toujours prĂ©sentĂ©s Ă  cĂŽtĂ© de son travail. L'Ɠuvre n'est intĂ©ressante que si elle dĂ©passe l'artiste qui la produit. »Pas de figuration chez lui. Elle ne l'intĂ©resse pas Pourquoi reprĂ©senter plutĂŽt que prĂ©senter ? » Tout est dans cette lumineuse question. Le terme de minimalisme ne le concerne pas, pas plus que l'Ă©talage d'Ă©motions ou la psychologie. Soulages ne voit pas le rapport entre son travail et l'arte povera, ou l'expressionnisme abstrait Qu'est-ce que cela veut dire ? s'Ă©tonne-t-il, ou la calligraphie extrĂȘme-orientale. Pas plus non plus avec la peinture gestuelle » d'un Matthieu ou d'un Hartung Pourquoi reprĂ©senter le mouvement alors que je ne veux rien reprĂ©senter ? » Ces histoires de regroupement familial » le laissent froid. Il prĂ©fĂšre les hommes aux Ă©tiquettes, et Rothko et Robert Motherwell, tout comme Hans Hartung, furent ses ses dĂ©buts, il avance dans le noir en dĂ©multipliant ses facettes. Son noir n'est pas noir. C'est Ă  partir de 1979 qu'est arrivĂ© l'outrenoir, terme qu'il a inventĂ© pour dĂ©signer la profondeur souvent insoupçonnĂ©e de cette matiĂšre » Dans ces peintures, rĂ©pond-il Ă  Françoise Jaunin, la lumiĂšre n'est plus créée par l'Ă©tat de surface de la couleur, elle vient ouvrir des trouĂ©es dans le noir, elle y a créé d'autres rythmes. » Ce qu'on retrouve dans le rythme des vitraux de l'abbaye de Conques, sa pierre de touche. En 1986, Ă  la demande du ministĂšre de la Culture, il accepte de crĂ©er ces fameux vitraux qu'il prit prĂšs de sept ans Ă  mettre au point. Il chercha longtemps avant de trouver la bonne formule du verre et, aprĂšs des centaines d'essais, il la trouva en associant le transparent Ă  l'opaque cristallisĂ©, ce qui permettait une modulation des couleurs, des vitraux Ă  deux faces ». Cent quatre verriĂšres et un enchantement qui ajoute Ă  l'Ă©pure du lieu et Colette Soulages vivent Ă  SĂšte depuis 1959. Le couple cherchait la solitude et le silence. Lorsqu'on leur a signalĂ© une maison horrible sur le mont Saint-Clair, ils eurent un coup de cƓur pour le paysage, le vaste horizon marin », nous avions achetĂ© un grand horizon vide ». Ils firent raser le machin prĂ©tentieux et imaginĂšrent ce qu'ils dĂ©siraient, dessinant ensemble les lignes, les plans, Ă©tudiant l'avancĂ©e du soleil selon les solstices, attentifs Ă  la force des vents, si vite cruels dans le Sud. Pour son atelier, le peintre a choisi d'aveugler la mer par un mur et de laisser entrer la lumiĂšre par une baie ouverte
 sur rien. Un lieu calme et clos. J'ai souvent dit, rappelait-il Ă  l'Ă©crivain Charles Juliet, que j'apprenais ce que je cherche en peignant, les couleurs et les outils en main. Ainsi, j'ai rencontrĂ© souvent ce que je n'attendais pas. » S'il aime le rugby, c'est Ă  cause de son ballon ovale. À ses yeux, le ballon rond est trop prĂ©visible, avec l'ovale, on ne sait jamais oĂč il va rebondir
 » Au Louvre salon carrĂ©, aile Denon, jusqu'au 11 mars Centre Pompidou Paris, jusqu'au 9 mars 2020Lire Catalogue sous la direction d'Alfred Pacquement et Pierre EncrevĂ©, x 28 cm, 380 pages, reliĂ© 49,90 €Noir lumiĂšre. Entretiens avec Pierre Soulages de Françoise Jaunin, La bibliothĂšque des Arts, 15 avec Pierre Soulages par Charles Juliet, L'Échoppe, 8,90 euros Les Hommes de bonne volontĂ©, est un cycle romanesque en 27 volumes de Jules Romains, publiĂ© de 1932 Ă  1946. Cette fresque romanesque commence le 6 octobre 1908, par une prĂ©sentation de Paris et des principaux protagonistes, et se termine le 7 octobre 1933. Conçus par Jules Romains comme la synthĂšse ambitieuse et multiforme de 25 Mini-Me», autoportrait de Maurizio Cattelan, Ă  la Monnaie de Paris, en 2016. © DR 24/05/2022 Ă  0300, Mis Ă  jour le 21/05/2022 Ă  1851 AttaquĂ© en justice par Daniel Druet, l’homme qui a rĂ©alisĂ© neuf de ses sculptures en cire, Maurizio Cattelan tente de fĂ©dĂ©rer le monde de l’art autour de sa cause. La crispation s’est faite lentement. Quand Daniel Druet est sollicitĂ© par Maurizio Cattelan Ă  la fin des annĂ©es 1990 pour rĂ©aliser une sculpture en cire du pape Jean-Paul II, le fournisseur du musĂ©e GrĂ©vin est avant tout un homme de l’ombre. C’est lui qui recrĂ©e pour l’institution parisienne les plus grands personnages du siĂšcle, de François Mitterrand Ă  Madonna, mais son nom n’apparaĂźt ni sur les cartels ni sur les catalogues du musĂ©e. En 2004, Maurizio Cattelan Ă  g. et Daniel Druet travaillent sur "Now". © Isabelle Turpin Druet est un exĂ©cutant talentueux, qui a tapĂ© dans l’Ɠil du galeriste Emmanuel Perrotin, lorsque celui-ci s’est mis en quĂȘte de la perle rare pour rĂ©aliser La Nona Ora », le projet imaginĂ© par son artiste Maurizio Cattelan. Ce dernier veut montrer un pape Ă  terre, Ă©crasĂ© par une mĂ©tĂ©orite venue du ciel. MĂ©taphore des cieux qui font tomber la foudre sur le religieux ? Lui, l’Italien manie les gestes forts, la provocation et les symboles dĂ©tournĂ©s. Alors il a pensĂ© ce Jean-Paul II en cire ressemblant au plus prĂšs Ă  son modĂšle, Ă©chouĂ© sur le sol, dĂ©truit par le poids d’un corps Ă©tranger. Druet est chargĂ© de concevoir l’ensemble du corps du Pape. Il est rĂ©munĂ©rĂ© prĂšs de 33 000 euros pour ce travail – et demande que sa signature soit gravĂ©e dans la cire. Ce que Cattelan accepte sans broncher. Mais tout le reste, du geste artistique aux vĂȘtements du Pape en passant par la mĂ©tĂ©orite, a Ă©tĂ© imaginĂ© par Maurizio Cattelan, note Me Pierre-Olivier Sur, l’avocat de la galerie Perrotin. Si Daniel Druet n’avait pas Ă©tĂ© disponible, c’est un autre sculpteur de cire qui aurait rĂ©alisĂ© l’Ɠuvre. » La suite aprĂšs cette publicitĂ© © Sur le coup, Cattelan et son fournisseur se satisfont mutuellement du travail accompli. Cattelan reprend donc langue avec Druet pour plusieurs de ses projets Ă  venir. Et notamment Him », surnommĂ© dĂ©sormais le petit Hitler », qui donne Ă  voir le FĂŒhrer enfant, avec son visage d’adulte, cherchant par son regard une forme de pĂ©nitence. Cattelan a inventĂ© un dispositif complet la statue doit ĂȘtre visible de dos et de loin, le crĂ©ateur ayant en tĂȘte le chemin qu’il parcourait gamin dans la cathĂ©drale de Padoue pour accĂ©der Ă  l’autel. Sur la rĂ©alisation mĂȘme de la sculpture, Cattelan donne des instructions trĂšs prĂ©cises Ă  Druet, par Ă©crit, allant mĂȘme jusqu’à lui transmettre un jeu de photos oĂč son assistant mime le regard apeurĂ© attendu dans le rĂ©sultat final. Maintes fois Druet reprend son ouvrage, correspond avec l’équipe de l’artiste pour satisfaire Ă  ses demandes. La suite aprĂšs cette publicitĂ© L'artiste manie la provocation et les symboles dĂ©tournĂ©s Trois ans plus tard, Cattelan se lance dans une autre crĂ©ation John F. Kennedy dans son cercueil – la dĂ©pouille du prĂ©sident assassinĂ© n’ayant jamais Ă©tĂ© montrĂ©e au public. Il rend pas moins de six visites Ă  Druet pendant toute la pĂ©riode de conception, veillant sur chaque dĂ©tail, du choix du cercueil Ă  celui du costume, pour coller au plus prĂšs de la rĂ©alitĂ© tout en la dĂ©tournant par d’infimes dĂ©tails. Entre-temps, le milieu de l’art s’est mis Ă  adorer Cattelan. Quand François Pinault commence Ă  acquĂ©rir certaines de ses installations, sa cote explose. Les prix s’envolent carrĂ©ment lorsque le musĂ©e Guggenheim de New York accroche la quasi-totalitĂ© de son Ɠuvre aux cimes de son bĂątiment en 2011. Le monde entier accourt et Cattelan devient intouchable. Souvent, note-t-on chez Perrotin, nous faisions appel Ă  Daniel Druet pour rĂ©parer les sculptures aprĂšs qu’elles avaient Ă©tĂ© exposĂ©es. Petit Ă  petit, ses factures sont devenues de plus en plus Ă©levĂ©es, nous avons donc fait appel Ă  d’autres fournisseurs pour effectuer ces rĂ©parations. »"Daniel Druet veut ĂȘtre reconnu comme "l'auteur exclusif" des Ɠuvres" D’autant que rien n’est dĂ©sormais impossible pour Cattelan y compris de briser le parquet d’un monument classĂ© comme la Monnaie de Paris pour y exposer une Ɠuvre, en 2016. C’est lĂ  que Daniel Druet a commencĂ© Ă  revendiquer la paternitĂ© des Ɠuvres », explique-t-on dans l’entourage de l’artiste. Cattelan se sert du travail des autres pour se faire valoir », estime Daniel Druet dans Le Monde » pour justifier sa plainte contre la galerie Perrotin en 2018 Une idĂ©e qui n’est pas rĂ©alisĂ©e ne vaut rien, sans moi, Cattelan ne peut rien
 » Probablement vexĂ© de ne pas voir son nom apparaĂźtre sur les cartels, Druet a dĂ©clenchĂ© une guerre judiciaire, dont le premier Ă©pisode s'est tenu vendredi 13 mai au tribunal de Paris. D’un cĂŽtĂ© un artiste restĂ© dans l’ombre, malgrĂ© ses deux grands prix de Rome obtenus en 1967 et 1968, qui souhaite ĂȘtre reconnu comme l’auteur exclusif des neuf Ɠuvres sculpturales », exigeant 5 millions d’euros de dommages et intĂ©rĂȘts, lui qui a Ă©tĂ© payĂ© au total 270 000 euros pour l'exĂ©cution des statues de cire. De l’autre, une galerie et un artiste fĂ©dĂ©rant une bonne partie du monde de l’art contemporain dans leur combat. La suite aprĂšs cette publicitĂ© La suite aprĂšs cette publicitĂ© Lire aussi. Maurizio Cattelan l'art Ă  la plage Difficile de remettre en cause l’histoire de l’art, note-t-on dans le camp Cattelan. Encore une fois, les Ɠuvres de Maurizio Cattelan auraient-elles pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©es sans lui ? La rĂ©ponse est non. Auraient-elles pu ĂȘtre rĂ©alisĂ©es sans Daniel Druet ? La rĂ©ponse est oui. » Les juges devront donc trancher quel est l’auteur de l’Ɠuvre ? Celui qui en a l’idĂ©e ou l’exĂ©cutant ? La question est vaste. La rĂ©ponse est attendue Ă  l’automne. SzQth.
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