Introduction 1Aborder les panneaux de signalisation du code de la route comme un systĂšme de signes non linguistiques ne permet pas de rendre compte de maniĂšre satisfaisante des unitĂ©s linguistiques qui sây trouvent pourtant rĂ©alisĂ©es. Ă lâinverse, si lâon ne considĂšre que ces unitĂ©s linguistiques, on ne peut rendre pleinement compte de lâintĂ©gralitĂ© du message transmis, dâautant que certains signaux ne prĂ©sentent aucun segment linguistique. Lâimbrication entre sĂ©miologie linguistique et autres sĂ©miologies est telle que pour aborder les panneaux dans une perspective discursive et textuelle il convient dâadopter une conception sĂ©miolinguistique de lâĂ©crit voir Anis 2000. Peut-ĂȘtre prĂ©cisĂ©ment parce que le matĂ©riau linguistique y apparaĂźt comme en retrait, les panneaux ne peuvent ĂȘtre analysĂ©s que si lâon apprĂ©hende toutes les dimensions du texte Ă©crit, aussi bien linguistiques que graphiques. Mais les panneaux sont-ils des textes ? Leur hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique, leur mode dâorganisation spĂ©cifique et leur mode de lecture soulĂšvent des problĂšmes qui complexifient dâabord toute tentative de rĂ©ponse. Ce sont ces problĂšmes que nous proposons ici de soulever. 2En considĂ©rant dâabord les panneaux comme des objets discursifs visuels, nous examinerons dans quelle mesure ils mettent en Ćuvre un systĂšme de communication linguistique. Nous verrons ensuite que la dimension visuo-spatiale de lâĂ©crit confĂšre un rĂŽle signifiant au support et aux paramĂštres de prĂ©sentation visuelle du texte. Nous nous attarderons par la suite sur la maniĂšre dont lâhĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique des panneaux, leur multimodalitĂ©, interroge leur statut textuel, du point de vue de la composition des panneaux, mais aussi du point de vue de leur mode de lecture. Il apparaĂźtra alors que ce mode de lecture est dĂ©terminĂ© par la finalitĂ© pratique des panneaux et quâil implique un rĂ©gime de textualitĂ© particulier. Enfin, nous verrons que ce rĂ©gime de textualitĂ© met en question la linĂ©aritĂ© du discours Ă©crit, aux diffĂ©rents niveaux de son articulation. 1. Les panneaux des objets discursifs visuels 3DĂšs 1970, Mounin remarque que dans les panneaux de signalisation routiĂšre lâintention de communiquer au sens linguistique et sĂ©miotique du terme est manifeste » 1970 155, mais il les apprĂ©hende comme un systĂšme de communication non linguistique », dont il montre cependant quâil nâest quâ apparemment simple » 1970 168. Lâexpression de la communication est en effet dâune extrĂȘme briĂšvetĂ© et semble principalement prise en charge par des Ă©lĂ©ments non linguistiques. Ainsi les panneaux se prĂ©sentent sous des formes et des couleurs variĂ©es, qui indiquent le type dâinformation vĂ©hiculĂ©e et la nature de la contrainte que le message exerce par exemple, une forme ronde indique une obligation ou une interdiction, un triangle un danger ou une prioritĂ© selon son orientation, un fond bleu une obligation, une indication ou une direction selon la forme du panneau, un fond jaune une indication temporaire, etc. 4Par ailleurs, un systĂšme de flĂšches variĂ©es met en rapport les informations donnĂ©es dans le panneau avec lâespace physique dans lequel il est installĂ© 1 Les abrĂ©viations de noms dâunitĂ©s de mesure se retrouvent dans dâautres genres brefs procĂ©duraux v ... 2 Le corpus sur lequel nous fondons nos rĂ©flexions se compose dâune sĂ©lection de panneaux extraits du ... 5On remarque Ă©galement des pictogrammes, qui peuvent par exemple indiquer la catĂ©gorie dâusagers concernĂ©e par une prescription, et des chiffres, souvent associĂ©s Ă des noms dâunitĂ©s de mesure abrĂ©gĂ©s1. La communication est donc principalement prise en charge par des Ă©lĂ©ments non linguistiques, mais lâon remarque que le matĂ©riau linguistique est loin dâĂȘtre absent. Si la moitiĂ© des panneaux de notre corpus2 ne prĂ©sentent que des pictogrammes ou des flĂšches, un tiers environ contiennent au moins un mot. Certains prĂ©sentent mĂȘme une combinaison de mots et de pictogrammes pour former des syntagmes hybrides 6Lâinformation linguistique est souvent rĂ©duite Ă un nom â notons que prĂšs de la moitiĂ© des panneaux contenant au moins un mot comportent presque exclusivement des noms propres â et se compose principalement de phrases averbales. Mais plusieurs phrases averbales peuvent se combiner au sein dâun panneau entre lesquelles sâĂ©tablissent alors des rapports logiques complexes en lâabsence de marqueurs de liaison syntaxiques. 7La parcimonie et lâĂ©conomie avec lesquelles les panneaux utilisent les mots sont corrĂ©lĂ©es Ă une ponctuation noire quasiment absente, du moins dans ses fonctions habituelles de segmentation et dâorganisation du texte. La virgule arithmĂ©tique permet dâexprimer des nombres dĂ©cimaux, un point ou un tiret peuvent Ă©ventuellement relier deux nombres, les deux points se trouvent entre un verbe Ă lâinfinitif et son complĂ©ment. Les segments linguistiques sâorganisent davantage dans leur juxtaposition les uns aux autres Ă la surface du panneau. On remarque en effet une abondance de ponctuation blanche espaces, retours Ă la ligne, retraits, marges, alignements, etc. qui organise et structure lâinformation linguistique et supplĂ©e la syntaxe. Le matĂ©riau linguistique est ainsi soumis Ă une segmentation typographique qui distingue parfois plusieurs modules au sein dâun mĂȘme panneau, comme en [15], et le panneau lui-mĂȘme, en tant que support de communication, opĂšre la segmentation dâune unitĂ© qui peut intĂ©grer un ensemble complexe. Ainsi plusieurs panneaux peuvent ĂȘtre combinĂ©s sur un mĂȘme poteau, comme en [16], ou se rĂ©pondre dans leur succession, comme en [17]. 8Lâinformation visuelle semble donc primer sur lâinformation linguistique mais lâon remarque Ă©galement que quand information linguistique il y a, celle-ci sâorganise dâune maniĂšre particuliĂšre les phĂ©nomĂšnes de discontinuitĂ© et les opĂ©rations de segmentation du texte se manifestent essentiellement dans la ponctuation blanche et par une organisation de lâinformation en modules plus ou moins interdĂ©pendants. Le texte sâorganise ainsi en mettant Ă profit la dimension visuelle de lâĂ©crit et en exploitant toutes les ressources signifiantes qui en dĂ©coulent. 2. PrimautĂ© de la dimension visuelle dans lâĂ©crit 9Contrairement Ă lâoral, Ă lâĂ©crit la phrase occupe ⊠lâespace plutĂŽt que le temps » Edeline 1999 202. Autrement dit, le texte Ă©crit est une entitĂ© visuelle » Vandendorpe 1999 61. Ce changement de dimension implique de rendre compte du rĂŽle de la prĂ©sentation matĂ©rielle et visuelle du texte dans son interprĂ©tation. En effet le texte Ă©crit se prĂ©sente avant tout comme un objet matĂ©riel. Avec le dĂ©veloppement des nouvelles technologies de traitement et de transmission de lâinformation, Ă lâheure de la gĂ©nĂ©ralisation des tĂ©lĂ©phones intelligents, des tablettes, des ordinateurs et surtout dâinternet, le mode dâaccĂšs aux textes et leur matĂ©rialitĂ© sont soumis Ă une diversification florissante qui Ă©veille lâintĂ©rĂȘt grandissant des linguistes. Alors que le support sur lequel se trouve inscrit un texte tend Ă se dĂ©matĂ©rialiser », son rĂŽle signifiant paraĂźt prendre de lâampleur. 3 Voir lâart. 4 de la Convention sur la signalisation routiĂšre ensemble neuf annexes signĂ©e Ă Vienn ... 10Mais la question de la matĂ©rialitĂ© du support se pose dĂšs les origines des Ă©critures, comme le montre une Ă©tude des tablettes hittites rĂ©alisĂ©e par Klock-Fontanille. Elle y remarque que le support gĂ©nĂšre du sens. Il permet Ă des âtracĂ©sâ dâaccĂ©der au statut de âsignesâ » 2005 32. Ainsi la portion de matiĂšre » 2005 33 qui sert de support matĂ©riel au texte fait sens et signe ; dans le cas des panneaux de signalisation, lâobjet mĂ©tallique biface aux formes et aux couleurs caractĂ©ristiques que lâon rencontre plantĂ© sur les bords de route sâidentifie comme Ă©nonçant une prescription ou une indication relative Ă la circulation routiĂšre et Ă©manant dâune autoritĂ© publique. Cette corrĂ©lation entre un support matĂ©riel et un contenu Ă©nonciatif dĂ©terminĂ©s est garantie et renforcĂ©e par le fait quâun texte juridique fait du premier le support exclusif du second3. 11Sur cette portion de matiĂšre, une surface est dĂ©limitĂ©e dans laquelle sâorganise le message. Le mode dâorganisation de ce support formel » est dĂ©fini comme une syntaxe qui fait sens cadres, repĂšres, directions, etc. » 2005 33. Sur les panneaux, seule une face du support matĂ©riel est marquĂ©e, ce qui correspond Ă leur fonctionnement pragmatique le rĂ©cepteur se trouve dans un mouvement unidirectionnel par rapport au panneau. Le texte y est ainsi par excellence consubstantiellement liĂ© Ă son support de lecture » 2005 30. Il convient donc de considĂ©rer le support comme un Ă©lĂ©ment de la construction de la signification » 2005 43, et dâ apprĂ©hender le support et le texte comme des objets sĂ©miotiques dâĂ©criture » 2005 44. Comme le remarque Anis, les Ă©lĂ©ments substantiels et matĂ©riels », les formes graphiques » constituent un corps signifiant intĂ©grĂ© aux isotopies textuelles » 1983 89. Ainsi les caractĂ©ristiques matĂ©rielles et visuelles du texte, sa mise en forme, ce quâon peut appeler gĂ©nĂ©ralement sa typographie, jouent un rĂŽle important dans son interprĂ©tation et doivent Ă ce titre ĂȘtre intĂ©grĂ©es Ă son analyse linguistique. VĂ©dĂ©nina 1989 consacre dâailleurs un ouvrage entier Ă montrer la pertinence linguistique de la prĂ©sentation typographique ». Non seulement la forme et lâorganisation des segments linguistiques est signifiante, mais câest aussi lâensemble de lâespace graphique, intĂ©grant Ă©ventuellement des Ă©critures non linguistiques et des images, qui joue un rĂŽle signifiant La notion dâespace graphique permet dâapprĂ©hender Ă la fois le support de lâĂ©crit et les codes graphiques qui permettent Ă lâĂ©crit dây faire sens. La notion dâespace graphique ouvre la voie Ă une graphĂ©matique Ă©largie HĂ©brard 1983 et de plusieurs maniĂšres elle crĂ©e une continuitĂ© entre le graphĂšme ponctuo-typographique et le foisonnement de mises en page et en espace â en dâautres termes entre la linguistique de lâoral et la sĂ©miotique scripturale ; Ă travers lâambivalence du terme graphique », elle rappelle le lien parfois distendu mais jamais rompu entre le texte et lâimage ; elle permet une approche de lâĂ©crit dans toute sa diversitĂ©, câest-Ă -dire intĂ©grant les Ă©critures non linguistiques et les images ; enfin elle peut ĂȘtre exploitĂ©e aussi bien pour la description dâun Ă©crit particulier, dâun type dâĂ©crit spĂ©cifique ou dâun domaine plus vaste, ce qui nous rapproche de la sĂ©miologie textuelle. » Anis 2000 6-7 12Cette notion dâespace graphique, dans la mesure oĂč elle envisage la langue Ă©crite dans sa substance visuelle, permet tout particuliĂšrement dâapprĂ©hender la complexitĂ© textuelle des panneaux de signalisation et de rendre compte de leur hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique, câest-Ă -dire de la combinaison entre signes linguistiques et autres signes visuels. 13Il nous semble que contrairement Ă ce que suggĂ©rait Mounin, le systĂšme des panneaux nâest pas quâun systĂšme sĂ©miologique non linguistique. Cependant nous convenons volontiers avec lui que ce systĂšme est loin dâĂȘtre simple non seulement lâĂ©tude des panneaux de signalisation doit intĂ©grer lâanalyse des signifiants linguistiques quâils contiennent, mais elle doit aussi analyser ces signifiants linguistiques dans leur combinaison avec des signifiants non linguistiques pour former des messages complexes. Lâexpression de ces messages exploite donc les possibilitĂ©s visuelles de lâĂ©criture, mais les panneaux sont-ils pour autant des textes Ă©crits ? 3. Le statut textuel des panneaux de signalisation routiĂšre en question Un problĂšme de compositionnalitĂ© ou un problĂšme dâĂ©chelle ? 14La routine rĂ©currente des panneaux implique que chaque actualisation dâun panneau opĂšre chez le lecteur un rappel et ne constitue pas pour lui une dĂ©couverte, mĂȘme si lâindication quâil reçoit sâapplique Ă une situation spatio-temporelle inĂ©dite. La comprĂ©hension des panneaux rĂ©sulte en effet dâun apprentissage, et tous les types de panneaux et de contenus sont censĂ©s ĂȘtre connus du lecteur. Mounin remarque Ă ce propos quâil convient de distinguer le moment de lâapprentissage de la signalisation routiĂšre, oĂč le code est prĂ©sentĂ© en dĂ©composant les signaux, et celui du conducteur aprĂšs 10 000 kilomĂštres, oĂč ce serait aux psychologues de dire comment les signaux sont perçus â probablement comme des Gestalten globales, inanalysĂ©es, aussitĂŽt oubliĂ©es peut-ĂȘtre que perçues, peut-ĂȘtre mĂȘme devenues purs dĂ©clencheurs de rĂ©flexes » 1970 156-157. 15Un panneau ne serait donc pas perçu comme un ensemble compositionnel, dont lâanalyse permettrait lâinterprĂ©tation globale, mais comme une unitĂ© renvoyant directement Ă une signification fixe. La compositionnalitĂ© de ces messages serait tellement intĂ©riorisĂ©e que leur interprĂ©tation â ou du moins lâadoption dâun comportement adĂ©quat Ă©tant donnĂ© la situation spatio-temporelle de rĂ©ception â nâimpliquerait plus lâanalyse de ses constituants discrets. Cette idĂ©e semble surtout valable pour les panneaux ne comportant aucun signifiant linguistique, ou comportant des unitĂ©s linguistiques acquĂ©rant en quelque sorte un statut logographique. Des panneaux plus complexes, tels les exemples [9] ou [15], impliquent bien une lecture du texte, une analyse de sa composition pour en dĂ©terminer la signification globale. Câest le cas Ă©galement des ensembles combinant plusieurs panneaux, comme en [6], [7], [8], [16] ou [17]. 16Si lâon considĂšre les panneaux en tant quâobjets isolĂ©s, la question de leur textualitĂ© se heurte au problĂšme de leur compositionnalitĂ©. Peut-ĂȘtre convient-il alors de poser Ă une Ă©chelle diffĂ©rente la question de lâextension du texte et de la segmentation des unitĂ©s textuelles. CohĂ©sion et textualitĂ© 17Mais restons encore au niveau du panneau pour le confronter aux dix principes de textualitĂ© proposĂ©s par Adam Ă lâoccasion dâune confĂ©rence intitulĂ©e Quâest-ce quâun texte ? » 2013. Le premier principe prĂ©sente le texte comme le lieu de manifestation des langues » et le second comme le lieu oĂč les Ă©noncĂ©s font sens ». Le troisiĂšme stipule que le texte nâest pas un objet naturel, mais un produit gĂ©nĂ©tique, Ă©ditorial, citationnel, traductorial dĂ©pendant dâun support mĂ©dium ». Le quatriĂšme lie tout effet de textualitĂ© » Ă un effet de gĂ©nĂ©ricitĂ© ». Le cinquiĂšme pose quâun texte rĂ©pond aux exigences de cohĂ©sion si toutes les phrases quâil comporte sont acceptĂ©es comme des suites co-textuelles possibles ». Le sixiĂšme prĂ©sente le texte comme un Ă©quilibre entre les nĂ©cessitĂ©s de rĂ©pĂ©tition-reprises et le besoin de progression informationnelle ». Le septiĂšme dĂ©finit le texte en tension entre continuitĂ© liages de niveaux diffĂ©rents et discontinuitĂ© segmentation par la ponctuation noire et blanche ». Le huitiĂšme pose comme condition quâune suite dâĂ©noncĂ©s liĂ©s voire verbo-iconiques » apparaisse comme formant un tout ayant dĂ©but et fin ». Enfin, le neuviĂšme prĂ©sente le texte comme un Ă©quilibre entre dit et non-dit de lâimplicite Ă lâintertextualitĂ© », tandis que le dixiĂšme le prĂ©sente comme un Ă©quilibre entre les forces cohĂ©sives-centripĂštes de la textualitĂ© et les forces centrifuges de la transtextualitĂ© ». 18Bien que le matĂ©riau langagier soit limitĂ©, les panneaux sont bien un lieu de manifestation de la langue française, oĂč les Ă©noncĂ©s â mĂȘme hybrides â font sens. De plus, un panneau exprime une intention de communication, il rĂ©pond Ă des rĂšgles de production matĂ©rielles et formelles Ă©noncĂ©es notamment dans la Convention, son Ă©dition est prise en charge par des sociĂ©tĂ©s spĂ©cialisĂ©es et agréées, et son support est intrinsĂšquement liĂ© au message quâil vĂ©hicule. Par ailleurs, les paramĂštres du support matĂ©riel, la dĂ©limitation du support formel et lâorganisation mais aussi le contenu de lâespace graphique identifient le texte comme relevant du genre des panneaux de signalisation routiĂšre il y a bien effet de gĂ©nĂ©ricitĂ©, reste Ă dĂ©terminer Ă quel niveau considĂ©rer un effet de textualitĂ©. 19Les choses se compliquent justement Ă partir du cinquiĂšme principe, concernant la cohĂ©sion et la progression textuelles. En effet, les panneaux comportant plusieurs phrases sont relativement restreints, ils sont gĂ©nĂ©ralement rĂ©duits Ă un seul Ă©noncĂ©, voire Ă un message non linguistique. NĂ©anmoins, lorsque le cas se prĂ©sente, les six derniers principes semblent bien mis en Ćuvre. 20Dans ce panneau, par exemple, les diffĂ©rentes phrases prĂ©sentent une cohĂ©sion certaine. Leur succession fait progresser lâinformation Ă travers un jeu de reprises implicites la rĂ©glementation du stationnement concerne les caravanes sur la commune de Fontaine la RiviĂšre, et ce sont les conducteurs de caravanes souhaitant y stationner qui sont invitĂ©s Ă sâadresser Ă la mairie de la commune en question. La continuitĂ© du texte est de plus affectĂ©e par des phĂ©nomĂšnes de discontinuitĂ© qui consistent ici dans la juxtaposition des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments dâinformation, phrases et pictogramme, les uns au-dessous des autres et sont donc essentiellement rĂ©alisĂ©s par la ponctuation blanche. Le texte ainsi formĂ© apparaĂźt comme un tout ayant dĂ©but et fin, dĂ©limitĂ© par lâespace graphique. Ce texte contient des renvois intratextuels implicites, on lâa vu, mais il prĂ©suppose Ă©galement dâautres textes, Ă savoir des textes juridiques comme la Convention ou le Code de la route, dont il rappelle la rĂ©glementation. Enfin, non seulement ce panneau constitue un ensemble cohĂ©sif, mais il ouvre sur dâautres textes, par exemple celui que la mairie invoque ou que lâofficier public prononce pour signifier aux conducteurs de caravanes les rĂšgles de stationnement dans la commune concernĂ©e. 21Plusieurs problĂšmes subsistent nĂ©anmoins, par lesquels les panneaux rĂ©sistent Ă la qualification de textes. Dâabord, nombre de panneaux ne prĂ©sentent aucun segment linguistique ils ne manifestent pas une langue particuliĂšre mais plutĂŽt un code sĂ©miotique international et mĂȘme lorsquâils contiennent des segments linguistiques, ceux-ci sont combinĂ©s Ă dâautres sĂ©miologies hĂ©tĂ©rogĂšnes. LâhĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique est telle que la sĂ©miologie linguistique semble en retrait et comme accessoire dans lâexpression de la communication. Mais le problĂšme le plus important semble ĂȘtre celui de lâidentification des unitĂ©s textuelles. Si lâexemple [18] peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme formant un texte, parmi les autres exemples prĂ©sentĂ©s, plusieurs ne sauraient fonctionner isolĂ©ment. Câest le cas des exemples [12] Ă [14], qui sâadjoignent Ă un panneau dâinterdiction ne comportant aucun segment linguistique. Le panneau de lâexemple [1], quant Ă lui, fait suite au panneau dâobligation dâallumer ses feux. De mĂȘme, le panneau de lâexemple [4] est liĂ© Ă celui quâil annonce, Ă savoir un panneau indiquant de cĂ©der le passage Ă lâintersection. Celui de lâexemple [7] est Ă©galement liĂ© Ă dâautres panneaux quâil indique de suivre et qui contiennent le segment DĂ©v. 2. Et que dire de lâensemble des panneaux de lâexemple [17], qui se succĂšdent sur le bord dâune autoroute tout en formant une unitĂ© textuelle complexe, oĂč le contenu de chacun est liĂ© Ă celui du panneau suivant ou prĂ©cĂ©dent ? 22Il apparaĂźt ainsi que la question de la textualitĂ© des panneaux est tributaire dâune autre question celle de lâextension du texte et de sa segmentation. Avant dâaborder cette derniĂšre, il nous semble utile de revenir Ă la premiĂšre en lâexaminant non plus du point de vue de lâorganisation textuelle mais du point de vue de la lecture. Une activitĂ© de lecture subordonnĂ©e Ă une activitĂ© pratique 23Un panneau dĂ©clenche certes des processus interprĂ©tatifs, mais est-il vraiment lu pour autant ? Le premier problĂšme, Ă nouveau, est que beaucoup de panneaux ne prĂ©sentent aucun segment linguistique. Vandendorpe remarque cependant que lâon ne peut pas rabattre la lecture sur le seul matĂ©riau langagier, car on peut trĂšs bien lire autre chose que du texte » 1999 140. En effet la lecture dâun graphique ou dâune carte gĂ©ographique, oĂč le matĂ©riau langagier » est en retrait, consiste Ă mettre en relation des donnĂ©es codĂ©es en vue de produire du sens » 1999 140. Or ces donnĂ©es codĂ©es sont de diffĂ©rents ordres. Toutefois sâil considĂšre comme mĂ©thodologiquement valide dâextrapoler Ă un support non linguistique lâactivitĂ© de lecture » 1999 118, tout objet de lecture nâest pas nĂ©cessairement un texte pour Vandendorpe, et il prĂ©fĂšre recourir au concept de pseudo-texte pour dĂ©signer tout objet de nature non linguistique dont la configuration se prĂȘte Ă des opĂ©rations de lecture » 1999 111. Plus, il propose de restreindre le terme de lecture et dâen exclure des objets sĂ©miologiques incluant pourtant du matĂ©riau langagier. Ainsi hĂ©site-t-il Ă dĂ©crire le consommateur en train de dĂ©ambuler dans un centre commercial comme un âlecteurâ, mĂȘme si celui-ci est amenĂ© Ă lire des Ă©tiquettes de produits ou des noms de magasins » car le lecteur est pour lui, par essence, quelquâun qui se consacre, pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e, Ă la perception, Ă la comprĂ©hension et Ă lâinterprĂ©tation de signes organisĂ©s en forme de message » 1999 222. Certaines activitĂ©s impliquant pourtant la rĂ©ception de signes linguistiques, parmi lesquelles la navigation sur internet, ne sont donc pas considĂ©rĂ©es par Vandendorpe comme des activitĂ©s de lecture au sens plein » ibid.. 24Lâanalogie entre les exemples de pseudo-textes » citĂ©s par Vandendorpe et les panneaux de signalisation du code de la route est possible. Si, dâune part, en dehors dâune rĂ©alisation purement linguistique et Ă©crite, câest-Ă -dire dâun assemblage de lettres, de mots, de phrases et de paragraphes » il sâagit plutĂŽt dâun pseudo-texte, câest-Ă -dire dâun objet de nature non linguistique susceptible, en fonction de sa structure, de se prĂȘter Ă des opĂ©rations de lecture » 1999 118, et si, dâautre part, certaines rĂ©alisations Ă©crites ne se prĂȘtent pas vraiment Ă ce que Vandendorpe appelle lecture, le statut textuel des panneaux semble devoir ĂȘtre mis en doute. 25NĂ©anmoins, et mĂȘme en admettant de restreindre un texte Ă un assemblage de phrases et de paragraphes, le conducteur qui entreprend un trajet sur la route rĂ©pond bien Ă la dĂ©finition du lecteur proposĂ©e par Vandendorpe voir ci-dessus. Il est en effet invitĂ© Ă se montrer attentif aux diffĂ©rents signaux qui jalonnent son parcours et Ă y rĂ©agir de maniĂšre adĂ©quate et il est Ă ce titre le rĂ©cepteur des messages que lui envoient les autoritĂ©s publiques. Cette activitĂ© de lecture des panneaux mais aussi de la route voire du paysage est corrĂ©lĂ©e Ă lâactivitĂ© qui consiste Ă circuler dans lâespace public, et mĂȘme fortement encouragĂ©e pour ne pas contrevenir aux rĂšgles de circulation. En vertu mĂȘme de la dĂ©finition de la lecture que donne Vandendorpe, il nous semble que conduire sur les voies de circulation publiques consiste en partie dans une activitĂ© de lecture, mĂȘme si ce nâest pas Ă titre principal, tout autant, dâailleurs, que faire du shopping. Il nous semble en effet que câest un trait saillant de ce quâon appelle sociĂ©tĂ© de lâĂ©crit, non que les individus y soient nĂ©cessairement friands de livres, mais quâils soient abreuvĂ©s de messages Ă©crits de toutes sortes dans toutes sortes de circonstances, des messages qui, mĂȘme et peut-ĂȘtre surtout lorsquâils combinent diffĂ©rentes sĂ©miologies, impliquent de la part de lâindividu la maĂźtrise de lâĂ©criture de sa langue. 26La raison pour laquelle Vandendorpe refuse dâaccorder le statut de textes Ă des Ă©tiquettes, des enseignes ou autres panneaux semble ĂȘtre en dĂ©finitive le fait que lâensemble quâils forment ne prĂ©senterait pas de cohĂ©sion nous retrouvons ainsi le problĂšme soulevĂ© plus haut, Ă savoir celui de la segmentation des unitĂ©s textuelles et de lâĂ©chelle Ă considĂ©rer pour Ă©tablir le texte. Mais un autre problĂšme apparaĂźt encore Ă lâexamen du statut textuel des panneaux. Tension entre linĂ©aritĂ© et spatialisation 27Au sein dâun panneau, des unitĂ©s sĂ©miotiquement hĂ©tĂ©rogĂšnes sont juxtaposĂ©es dans lâespace. Lâexpression et la combinaison de ces unitĂ©s exploitent toutes les ressources de lâespace graphique. Les panneaux reprĂ©sentent ainsi des unitĂ©s-messages, segmentables elles-mĂȘmes en unitĂ©s plus petites » Mounin 1970 157. Or ces unitĂ©s ne sont pas linĂ©aires, ou plus prĂ©cisĂ©ment, elles ne prĂ©sentent pas une organisation linĂ©aire. Ce caractĂšre non linĂ©aire concerne les unitĂ©s non linguistiques mais aussi les unitĂ©s linguistiques prĂ©sentes dans les panneaux. Lâorganisation spatiale de ces signifiants linguistiques est en effet fortement contrainte et dessine une syntaxe originale, qui est marquĂ©e par la mise en espace de ces signifiants linguistiques, comme lâillustrent les exemples suivants 28Si en [19] la phrase injonctive peut parfaitement figurer sur une mĂȘme ligne avec Ă la rigueur une virgule aprĂšs sĂ©curitĂ© pour la rendre moins abrupte, cela nâaurait aucun sens de vouloir faire figurer tous les noms de lâexemple [9] sur une mĂȘme ligne. Dans les deux derniers panneaux de lâexemple [17], une telle tentative produirait un Ă©noncĂ© agrammatical, et en [18] il faudrait non seulement ajouter de la ponctuation noire mais aussi intĂ©grer le pictogramme, en se demandant Ă quel titre. En [15] les signifiants linguistiques sont compartimentĂ©s, ce qui nâest pas le cas en [5] par exemple, alors que la structure syntaxique est similaire. En [20] enfin, la juxtaposition spatiale opĂšre une thĂ©matisation du nom Ăguzon et identifie village Ă©tape comme une prĂ©dication descriptive. On remarque de plus que la segmentation par retour Ă la ligne de syntagmes qui admettraient une seule ligne ou une seule Ă©mission de voix tient compte des contraintes matĂ©rielles du support mais aussi de la composition de ces syntagmes et de la signification du message. Dans le premier panneau de lâexemple [17], le retour Ă la ligne sĂ©pare ainsi le dĂ©terminant de son nom et le nom de son complĂ©ment du nom, et ce faisant met en valeur, assistĂ© par la taille des caractĂšres, le thĂšme de la prescription exprimĂ©e la distance de sĂ©curitĂ©. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale toutefois, il semble que les contraintes spatiales du support dĂ©terminent la segmentation de syntagmes opĂ©rĂ©e par le retour Ă la ligne â mais est-il encore pertinent de parler de retour Ă la ligne ? On a plutĂŽt une juxtaposition de haut en bas quâun dĂ©roulement linĂ©aire. 29Que lâon examine la composition des panneaux, quâon les confronte aux principes de textualitĂ© proposĂ©s par Adam, que lâon sâinterroge sur leur mode de lecture ou sur leur linĂ©aritĂ©, la mĂȘme question se pose celle de lâextension et de la segmentation textuelles, autrement dit celle de lâĂ©chelle Ă considĂ©rer pour Ă©tablir le texte des panneaux. Un dĂ©tour par lâexamen de la finalitĂ© pratique des panneaux et de leur mode de lecture particulier permet dâenvisager des pistes de rĂ©ponse. 4. FinalitĂ© pratique et mode de lecture particulier 30Les panneaux de signalisation sont situĂ©s en bord de route pour signifier une prescription ou donner une information aux usagers de la route » Convention, art. 3. Il sâagit de textes Ă finalitĂ© pratique, qui visent Ă rĂ©gler un comportement » Adam 2001 11 et se trouvent Ă la jonction entre action verbale et action dans le monde » 2001 26. Lâune des particularitĂ©s Ă©nonciatives de ce systĂšme de communication est en effet que les rĂ©cepteurs nâont habituellement pas lieu de rĂ©pondre aux messages Ă©mis autrement que par un comportement non sĂ©miologique â un comportement qui nâest pas Ă son tour un message, mais un acte » Mounin 1970 156. On a donc affaire Ă des textes qui visent Ă rĂ©guler une activitĂ© pratique, Ă savoir la circulation routiĂšre. Il apparaĂźt ainsi que lâactivitĂ© pratique qui consiste Ă circuler sur la voie publique implique une activitĂ© de lecture, plus ou moins secondaire. Et du fait de leurs fonctions socio-discursives, les panneaux sont soumis Ă un mode de lecture particulier. 31Le lecteur avance Ă la rencontre des panneaux tandis que ceux-ci dĂ©filent devant lui. Le lecteur et le panneau se trouvent ainsi dans un mouvement relatif lâun par rapport Ă lâautre. Autrement dit, la lecture des panneaux est cinĂ©tique. Par ailleurs, bien quâil sâagisse dâun texte Ă©crit qui se dĂ©veloppe comme on lâa vu dans une dimension spatiale, on y retrouve les trois contraintes fondamentales qui caractĂ©risent lâoral » Vandendorpe 1999 16, câest-Ă -dire lâimpossibilitĂ© pour lâauditeur de dĂ©terminer le moment de la communication », dâen maĂźtriser le dĂ©bit et de retourner en arriĂšre 1999 15. Le rĂ©cepteur est en effet censĂ© se trouver dans une attention constante aux panneaux qui jalonnent son parcours, sur lâapparition desquels il nâa aucune prise puisquâils viennent Ă lui autant quâil avance vers eux. Le rĂ©cepteur ne peut non plus sâarrĂȘter Ă son aise pour examiner un panneau, sauf dans certains cas oĂč il ne dispose pas non plus alors dâun temps illimitĂ©. Le temps de rĂ©ception des panneaux est donc relativement court, ce qui conditionne dâailleurs lâespace et les termes dans lesquels sâexprime le message. De plus, le rĂ©cepteur nâa pas seulement affaire Ă des panneaux isolĂ©s mais Ă une succession de panneaux qui dĂ©filent Ă sa rencontre selon un ordre imposĂ©, sans possibilitĂ© de retour en arriĂšre. Autrement dit, les panneaux sont soumis Ă une lecture Ă la fois cinĂ©tique et sĂ©quentielle. 4 Nous laissons pour lâinstant de cĂŽtĂ© les inscriptions marquĂ©es directement sur la chaussĂ©e, autre m ... 32Le mode de lecture des panneaux est donc cinĂ©tique parce que le lecteur se trouve dans un mouvement unidirectionnel quâil peut difficilement interrompre, et il est sĂ©quentiel parce que les panneaux se suivent dans un ordre dĂ©terminĂ©. Mais la lecture des panneaux est aussi discontinue. Comme on lâa vu, on ne prend pas la route pour lire des panneaux. Mais cette activitĂ© de lecture sâintĂšgre Ă lâactivitĂ© de circulation sur la voie publique et accompagne ponctuellement la conduite tout au long du trajet. Ce que le conducteur lit surtout pour circuler en toute quiĂ©tude, câest la route, qui dĂ©termine en premier lieu la succession des actions qui constituent son activitĂ© de circulation. Or lire la route, câest aussi lire les panneaux qui se trouvent sur le bas-cĂŽtĂ©4, puisque la circulation sur la voie publique est rĂ©glementĂ©e. LâactivitĂ© de lecture au sens classique du terme se trouve certes relĂ©guĂ©e en position secondaire, mais elle nâest pas accessoire. Les segments linguistiques sont certes en retrait, mais ils ne sont pas nĂ©gligeables. Parler de pseudo-textes ne fait quâĂ©luder le problĂšme. Avec les panneaux, on a affaire Ă la lecture dâun objet la route qui implique lâinterprĂ©tation de signes divers, notamment des signes linguistiques quand la prescription ou lâinformation Ă dĂ©livrer ne peut ĂȘtre signifiĂ©e par dâautres moyens sĂ©miologiques. 33Si lâon considĂšre les panneaux isolĂ©ment, on a affaire Ă des Ă©noncĂ©s plus ou moins brefs soumis aux contraintes spatiales de lâĂ©crit, dans lesquels câest la spatialisation qui structure lâinformation verbale et non verbale. Mais si lâon considĂšre le discours routier, formĂ© par la succession des messages au bord de la route, qui peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme linĂ©aire pour le conducteur » Mounin 1970 163, on retrouve dans le mode de lecture cinĂ©tique et sĂ©quentiel des panneaux les contraintes temporelles de lâoral et lâon discerne mieux la corrĂ©lation entre ce mode de lecture particulier et le caractĂšre secondaire de lâactivitĂ© de lecture par rapport Ă lâactivitĂ© pratique que ces textes rĂ©gulent on fait un trajet en voiture, par exemple, plutĂŽt quâon ne part lire des panneaux, comme on fait une recette plus quâon ne la lit. 34Câest de ce point de vue du mode de lecture que le problĂšme de la textualitĂ© des panneaux reçoit un Ă©clairage nouveau. Comme dans une recette de cuisine, on a affaire Ă une succession dâindications et de consignes qui doivent conduire Ă rĂ©aliser correctement lâactivitĂ© rĂ©gulĂ©e. Mais cette activitĂ© impliquant un dĂ©placement de la part du rĂ©cepteur devenant sujet-agent des actions indiquĂ©es, ces indications et consignes se succĂšdent de maniĂšre discontinue et leur cohĂ©rence dĂ©pend de leur rapport avec lâespace physique changeant dans lequel le lecteur circule. En ce sens, le texte qui fait lâobjet du discours routier consiste dans lâensemble des panneaux qui jalonnent un trajet. En dâautres termes, câest le lecteur usager du code de la route qui dĂ©finit lâextension du texte en se fixant un itinĂ©raire. Ce mode de lecture particulier, liĂ© aux fonctions socio-discursives des panneaux, dĂ©termine ainsi un rĂ©gime de textualitĂ© particulier. 5. LâĂ©crit en tension entre linĂ©aritĂ© et tabularitĂ© La linĂ©aritĂ© du discours mise en question Ă lâĂ©crit 35Alors quâil reste gĂ©nĂ©ralement convenu que la lecture est un processus linĂ©aire », la notion de linĂ©aritĂ© ne sâapplique pas Ă de nombreux types dâactivitĂ© dĂ©ployĂ©s dans la lecture du livre ». Les rĂ©flexions que Vandendorpe 1999 41 propose sur la lecture de la page dâun livre peuvent Ă©galement sâappliquer aux panneaux lâĂ©crit nous permet dâĂ©chapper Ă la linĂ©aritĂ©, car lâĆil peut embrasser la page dâun seul regard, tout comme il peut se poser successivement sur divers points, choisis chaque fois en fonction de critĂšres diffĂ©rents » 1999 42. Ainsi, comme le propose Anis, lâĂ©criture est non linĂ©aire parce que multidimensionnelle » 2000 7, et il sâagit de porter attention aux contraintes porteuses de sens » auxquelles obĂ©it la spatialisation des textes plus elle est grande, plus on sâĂ©loigne du texte comme ruban » 2000 8, et plus entrent en jeu dans la rĂ©ception et lâinterprĂ©tation des segments linguistiques des paramĂštres graphiques. 36Les panneaux, mĂȘme si leur statut textuel reste en discussion, reprĂ©sentent un cas exemplaire qui suggĂšre de reconsidĂ©rer la linĂ©aritĂ© du texte Ă©crit, dâabord au niveau de leur organisation interne. Celle-ci se fait en effet au moyen de diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de segmentation les panneaux eux-mĂȘmes, qui enserrent une unitĂ© dâinformation, les retours Ă la ligne, la typographie, qui rend certains segments plus saillants que dâautres, lâencadrement de certains segments au sein du panneau, qui se trouve ainsi organisĂ© en diffĂ©rents modules. Dans les panneaux, le texte est Ă la fois soumis aux contraintes matĂ©rielles de son support et aux contraintes discursives quâimposent ses fonctions pragmatiques le lecteur dâun panneau doit saisir et Ă©ventuellement sĂ©lectionner en un seul regard lâinformation pertinente, surtout lorsquâil sâagit de prescription. 37Au niveau de lâunitĂ© du panneau, malgrĂ© le rĂŽle sĂ©mantique de la spatialisation de lâinformation, on retrouve cependant une certaine linĂ©aritĂ© du signifiant linguistique ; toutefois, linĂ©aritĂ© ne signifie pas alors que les segments linguistiques peuvent figurer sur une seule ligne » visuelle, mais que selon le mode de lecture traditionnel de lâĂ©crit, le texte se lit de haut en bas. Par contre, il ne se lit pas nĂ©cessairement de gauche Ă droite, comme le suggĂšre lâexemple [8], dans lequel on peut prendre connaissance du nom dâautoroute ou de ville avant de regarder lâindication de distance. Il sâagit donc dâune linĂ©aritĂ© verticale plus quâhorizontale. 38Mais si lâon considĂšre une combinaison de panneaux comme en [20] par exemple, les diffĂ©rents panneaux paraissent Ă la fois interdĂ©pendants et relativement autonomes, si bien que cet ensemble textuel admet diffĂ©rents parcours de lecture. Par exemple, le conducteur qui nâa aucune intention de faire une pause pour visiter Ăguzon, sây nourrir ou sây reposer ne prĂȘtera pas mĂȘme attention au panneau dĂšs lors quâil aura reconnu sa fonction, tandis que lâĆil dâun conducteur endormi pourrait ĂȘtre directement attirĂ© par le lit symbolisĂ© avant de remonter Ă lâindication de distance puis sâattarder sur le nom de la ville, sans nĂ©cessairement lire les autres informations diverses qui coexistent sur le panneau avec celles-ci, dâautant que lâautoroute sur laquelle il se trouve indiquĂ©e par le cartouche ne lui permet guĂšre de sâĂ©garer dans sa lecture. Alors que le texte est produit sous une forme linĂ©aire, les segments de texte se suivant logiquement de haut en bas et de gauche Ă droite ou de droite Ă gauche, la rĂ©ception du texte admet une recomposition qui inverse lâordre linĂ©aire. On remarque dâailleurs que cette sĂ©lection de lâinformation est facilitĂ©e par une segmentation du texte qui sâorganise sur plusieurs panneaux juxtaposĂ©s les uns aux autres, chaque unitĂ© dâinformation ainsi isolĂ©e Ă©tant dĂ©pendante des autres prĂ©sentes sur le mĂȘme poteau mais ayant Ă©galement une relative autonomie. 39Ainsi, lâorganisation graphique des panneaux et lâorganisation visuelle des poteaux combinant plusieurs panneaux est telle que la saillance graphique et visuelle des Ă©lĂ©ments de lâespace graphique quâil faut alors considĂ©rer Ă lâĂ©chelle du poteau susceptible de combiner plusieurs panneaux et non plus du simple panneau hiĂ©rarchise lâinformation pour lâexprimer dâune maniĂšre aussi efficace que possible en facilitant son apprĂ©hension mais aussi sa sĂ©lection. LâidĂ©e que lâinformation puisse ĂȘtre sĂ©lectionnĂ©e intervient surtout concernant les panneaux informatifs, qui seuls se trouvent combinĂ©s en ensembles ou poteaux complexes. Dâailleurs, la valeur illocutoire des panneaux prescriptifs est dâautant mieux exprimĂ©e que son expression se fait en termes brefs un rond blanc bordĂ© de rouge intime une interdiction, reste Ă en connaĂźtre la portĂ©e, et un pictogramme peut suffire Ă la dĂ©terminer, ou pas TabularitĂ© du texte Ă©crit 40Pour rendre compte de modes de lecture oĂč la linĂ©aritĂ© du discours est mise en cause, Vandendorpe puis Florea proposent la notion de tabularitĂ©. Pour le premier, elle dĂ©signe la possibilitĂ© pour le lecteur dâaccĂ©der Ă des donnĂ©es visuelles dans lâordre quâil choisit, en cernant dâemblĂ©e les sections qui lâintĂ©ressent » 1999 41, elle correspond Ă une exigence de mise en forme des textes de type informatif, de maniĂšre Ă en permettre une appropriation aussi efficace que possible par le lecteur » 1999 64. En effet, dĂ©couper le texte en Ă©lĂ©ments divers convient trĂšs bien Ă la communication dâinformations variĂ©es que le lecteur pourra sĂ©lectionner suivant ses intĂ©rĂȘts » 1999 65. La signalisation routiĂšre consiste Ă prescrire des rĂšgles dâaction mais aussi Ă informer et orienter lâusager. La prĂ©sentation de lâinformation dans des panneaux de direction hiĂ©rarchise ainsi lâinformation selon des rĂšgles qui permettent au lecteur averti de sĂ©lectionner immĂ©diatement lâinformation qui lui est pertinente. 41Florea remarque Ă©galement que dans un rĂ©gime de textualitĂ© tabulaire, ce sont la topographie et la mise en page qui balisent la lecture » et que lâappropriation du texte par le lecteur est dĂ©terminĂ©e par lâorganisation spatiale du matĂ©riau signifiant » 2009 181. Alors que Vandendorpe insiste sur la tabularitĂ© du livre, Florea propose dâappliquer ce rĂ©gime de textualitĂ© Ă dâautres supports et genres, en particulier Ă lâhyperstructure journalistique. La notion de tabularitĂ© permet ainsi de rendre compte dâun parcours de lecture relativement ouvert, oĂč le lecteur joue un rĂŽle important et a la possibilitĂ© dâentrer dans le texte par plusieurs portes » 2009 181. Car câest en effet souvent le lecteur qui fait exister le texte en tant quâobjet unifiĂ© » 2009 189. 42Câest sur cette idĂ©e que propose dâinsister AthĂ©a en examinant la lecture des documents numĂ©riques. Face Ă lâhypertexte, qui lui permet de naviguer Ă son grĂ© dâun texte Ă lâautre via des mots-clĂ©s, le lecteur bĂątit son parcours, en dĂ©cidant du cheminement personnel ⊠en fonction de son contexte situationnel » 2015 220. MĂȘme si dans les panneaux la contrainte illocutoire est plus forte et la succession des panneaux imposĂ©e, câest en dĂ©finitive le conducteur-lecteur qui dĂ©cide de son cheminement personnel et qui construit son parcours de lecture. Une des propriĂ©tĂ©s de ce mode de lecture de lâhypertexte se retrouve dâailleurs dans les panneaux, en particulier les panneaux informatifs pendant son parcours, des passages peuvent ĂȘtre dĂ©laissĂ©s par le lecteur, des difficultĂ©s sautĂ©es, sans que cela entraĂźne des consĂ©quences dramatiques pour lâinterprĂ©tation, car le seul juge de lâefficacitĂ© de la lecture est le lecteur lui-mĂȘme, puisque câest lui qui fixe les critĂšres de sa rĂ©ussite » 2015 221. Bien que les panneaux soient des textes juridiquement codifiĂ©s, il convient en effet de prendre dâemblĂ©e en compte les errements possibles du lecteur par rapport aux injonctions du texte, dâautant que la codification de ces textes normatifs vise Ă limiter au maximum les premiers pour confĂ©rer une efficacitĂ© optimale aux secondes. 43La notion de tabularitĂ©, comprise comme un rĂ©gime de textualitĂ© liĂ© Ă un mode de lecture particulier, permet donc de rendre compte de lâorganisation de lâinformation, verbale et non verbale, au sein de certains panneaux et de lâorganisation simultanĂ©e des panneaux entre eux sur un mĂȘme poteau, mais aussi de la succession de ces poteaux portant un ou plusieurs panneaux. Les textes que forment les panneaux peuvent ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme tabulaires dans la mesure oĂč ils sont composĂ©s de modules plus petits, qui peuvent ĂȘtre sĂ©miotiquement hĂ©tĂ©rogĂšnes mais Ă dominante linguistique, et dont la combinaison forme un texte, câest-Ă -dire un tout qui reprĂ©sente plus que la simple somme des parties qui le composent » Florea 2009 181. Cependant la linĂ©aritĂ© temporelle du discours se retrouve dans la dimension cinĂ©tique et sĂ©quentielle de la lecture des panneaux. Mais il ne sâagit pas alors de la linĂ©aritĂ© des segments linguistiques mais dâun discours constituĂ© dâune succession dâunitĂ©s sĂ©miotiquement hĂ©tĂ©rogĂšnes qui mettent en Ćuvre la multimodalitĂ© de lâĂ©criture. 44En mettant au cĆur du processus de constitution du texte Ă©crit le lecteur â ce rĂ©cepteur qui met Ă profit lâĂ©nonciation indirecte pour prendre toute libertĂ© qui lui plaise vis-Ă -vis du texte, y compris de ne pas le lire â il est ainsi possible de rendre compte de lâhĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique et de la linĂ©aritĂ© dâun texte qui accompagne une activitĂ© pratique, Ă la maniĂšre dâune recette. Une Ă©criture hybride ? 45Au cours de notre cheminement, nous avons observĂ© dâabord que les panneaux de signalisation routiĂšre prĂ©sentent une imbrication complexe de matĂ©riau linguistique et non linguistique qui impose de reconsidĂ©rer les Ă©lĂ©ments signifiants du texte Ă©crit, voire de reconsidĂ©rer les limites entre linguistique et non linguistique. Les panneaux constituant des Ă©crits conçus indĂ©pendamment dâune rĂ©alisation orale, il est ainsi apparu que la spĂ©cificitĂ© de tels textes rĂ©side dans le caractĂšre multidimensionnel des ressources signifiantes mises en Ćuvre. Cela a posĂ© diffĂ©rents problĂšmes concernant le statut textuel des panneaux de signalisation. En premier lieu, celui de la raretĂ© et de la briĂšvetĂ© du matĂ©riau linguistique, qui sâinscrit dans la mise en Ćuvre dâun code principalement visuel. En second lieu, le fait que lâactivitĂ© de lecture soit subordonnĂ©e Ă une activitĂ© pratique a mis au jour le caractĂšre discontinu des unitĂ©s textuelles Ă considĂ©rer. LâhĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique et la discontinuitĂ© des panneaux conduisent ainsi Ă concevoir ces textes Ă©crits en termes de discontinuitĂ©s typographiques et spatio-temporelles. Dans les panneaux, ce sont en effet les discontinuitĂ©s qui organisent le texte, au niveau spatio-temporel, au niveau visuel et graphique et au niveau syntaxique. Si les panneaux sont des textes, ce sont des textes non linĂ©aires, du moins au sens habituel du terme. 46Finalement, en mettant en corrĂ©lation la finalitĂ© pratique des panneaux et leur mode de lecture cinĂ©tique et sĂ©quentiel, nous pouvons considĂ©rer que la maniĂšre dont ils exploitent les diffĂ©rentes dimensions sĂ©miologiques de lâĂ©crit reprĂ©sente une marque du genre. Il convient donc dâaccorder sa place Ă lâanalyse de ces diffĂ©rentes dimensions pour expliquer le fonctionnement socio-discursif et le fonctionnement textuel de tels genres routiniers, extrĂȘmement contraints, pour lesquels le concept mĂȘme de texte est mis en question. Les panneaux ne sont pas en effet les seuls genres de lâĂ©crit oĂč les limites entre Ă©criture de la langue et image vacillent. 47Enfin nous avons vu que la dimension visuo-spatiale de lâĂ©crit permet une organisation non linĂ©aire des Ă©lĂ©ments signifiants et que les panneaux se prĂ©sentent comme un cas exemplaire qui Ă©claire les diffĂ©rents paramĂštres Ă prendre en compte dans lâanalyse de textes exploitant cette dimension. La communication Ă©crite est ainsi Ă considĂ©rer aussi bien dans son aspect matĂ©riel que conceptuel. Les propriĂ©tĂ©s du support matĂ©riel sont en effet signifiantes, mais aussi la localisation de ce support dans lâespace. La syntaxe du support formel, câest-Ă -dire le type de contenu qui se dĂ©ploie dans lâespace graphique et son agencement, est signifiante Ă©galement. Le discours Ă©crit se prĂ©sente donc dâabord comme un objet dont les propriĂ©tĂ©s participent de la signification du message vĂ©hiculĂ©. DĂšs lors, le message Ă©crit ne se limite pas Ă du matĂ©riau linguistique non seulement les propriĂ©tĂ©s du support jouent un rĂŽle dans sa signification, mais il est de plus susceptible de prĂ©senter une certaine hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique, dont notre approche permet de rendre compte. Dâune part la distinction des diffĂ©rents paramĂštres Ă considĂ©rer dans lâanalyse des panneaux propriĂ©tĂ©s du support matĂ©riel, syntaxe du support formel, nature du contenu de lâespace graphique et dâautre part la prise en compte de leurs finalitĂ©s pratiques permettent dâĂ©clairer et prĂ©ciser lâanalyse dâĂ©crits variĂ©s, appartenant Ă divers genres, aux niveaux discursif, textuel et syntaxique. 5 Voir Bordon 2004 et Vaillant, Bordon & Sautot 2008. 48Il est apparu Ă©galement quâen mettant le lecteur et le mode de lecture au centre du processus dâinterprĂ©tation mais aussi de production du texte selon sa visĂ©e communicationnelle, il est possible dâapprĂ©hender les rĂšgles de spatialisation de lâinformation et lâhĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© sĂ©miotique de ces genres Ă©crits particuliers. La publicitĂ©, les enseignes, les panneaux et les signalisations de toutes sortes exigent dâadopter, pour aborder les donnĂ©es linguistiques quâils fournissent, une approche sĂ©miolinguistique de lâĂ©crit, qui rende compte de la multimodalitĂ© de lâĂ©crit et qui permette peut-ĂȘtre aussi dâĂ©chapper au phonocentrisme alphabĂ©tique. Comme le rappelle Anis, le lien est parfois distendu mais jamais rompu entre le texte et lâimage » 2000 6, et le principe logographique subsiste dans les Ă©critures alphabĂ©tiques. En ce qui concerne les panneaux de signalisation routiĂšre, cette approche permet donc de rendre compte de la spatialisation de lâinformation et de sa dimension visuelle, mais elle peut Ă©galement conduire Ă reconsidĂ©rer les signes visuels comme les pictogrammes, par exemple, dont le statut sĂ©miologique reste Ă analyser. Des Ă©tudes montrent ainsi que lâinterprĂ©tation des pictogrammes met en jeu des compĂ©tences relevant de la littĂ©ratie. Leurs conclusions mettent en cause le caractĂšre iconique des pictogrammes, si bien quâelles proposent de parler dâidĂ©ogrammes5. Par ailleurs, les nouvelles technologies de lâĂ©crit donnent une rĂ©sonnance nouvelle Ă cette question, notamment Ă travers lâemploi des Ă©moticĂŽnes. Le français ne connaĂźt-il quâune Ă©criture alphabĂ©tique ? Câest la question que ces donnĂ©es conduisent Ă poser.
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Defoort-dhelle...This PaperA short summary of this paper37 Full PDFs related to this paper ĂjdonsĂĄgok; Tervezett tovĂĄbbi tĂ©mĂĄk hamarosan: az elĂ”zĂ”ekhez hasonlĂł formĂĄban összeĂĄllĂtĂĄs a következĂ” fajokrĂłl: rĂłzsĂĄs törpepapagĂĄj, hullĂĄmos papagĂĄj, Ă©nekes papagĂĄj.Accueil / Support Support eXplore. machines Ă coudre mĂ©caniques elna 3210 designed for jeans Sew Zebra/Fun Green eXperience. machines Ă coudre Ă©lectroniques eXperience 570α eXcellence. machines Ă coudre Ă©lectroniques haut de gamme eXcellence 580+ Ă©dition anniversaire eXcellence 680+ Ă©dition anniversaire eXcellence 720PRO eXcellence 780+ eXpressive. machines Ă broder eXpressive 830 eXpressive 830L eXtend. surjeteuses et recouvreuses eXtend covermax ModĂšles prĂ©cĂ©dents. eXperience 520S eXperience 540S eXcellence 730PRO eXcellence 760PRO Sur ce site web, nous utilisons des cookies et fonctions comparables pour traiter les informations du pĂ©riphĂ©rique et les donnĂ©es personnelles. 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